Univers
La première année d’observation du relevé céleste Desi suggère que l’énergie noire, qui accélère l’expansion de l’univers, pourrait avoir varié dans le temps. Un résultat qui défie notre compréhension de l’évolution cosmique et qui suscite tour à tour prudence, enthousiasme et curiosité chez les spécialistes.
L’Univers est en expansion. Soit. Mais à quelle vitesse ? Selon la méthode utilisée, ce taux d’expansion, ou constante de Hubble, varie. Et les mesures les plus récentes viennent encore confirmer cette tension. Au point que des cosmologistes mettent en cause les modèles théoriques les mieux établis.
Un groupe d’étoiles à la luminosité extraordinairement faible vient d’être détecté dans le voisinage de notre galaxie. Sa masse visible ne compte que pour 16 masses solaires ! Un record qui pose beaucoup de questions.
Expert scientifique auprès des Nations unies, l’astrophysicien américain Alan Lightman réfléchit à des thèmes où se croisent l’astronomie, la biologie et la philosophie. « Ciel & espace » l’a interrogé sur la rareté de la vie dans l’Univers.
De jeunes étoiles situées en périphérie des galaxies ont été découvertes en grand nombre grâce à l’observatoire spatial Galex. Leur présence étonne les astronomes, et ce, d’autant plus qu’ils n’étaient pas parvenus jusqu’ici à observer les nébuleuses dans lesquelles elles se sont formées.
Pour expliquer la densité très diverse des halos galactiques, la matière noire pourrait avoir besoin d’interagir avec elle-même. Une hypothèse proposée par une équipe américaine menée par Hai-Bo Yu.
Le ciel et l’espace sont une mine d’inspiration inépuisable pour la science-fiction. La diversité des astres, les voyages dans l’espace et dans le temps, la menace ou l’opportunité de rencontres avec des extraterrestres, les univers parallèles… tout est matière pour l’imagination fertile des auteurs comme Laurent Genefort, notre invité.
Cygnus X-1 est formé d’une supergéante bleue et d’un trou noir, le premier jamais détecté. Situé plus loin qu’on ne le croyait, le tandem est aussi, du coup, plus massif. Et cela pose problème pour nos modèles théoriques…