Univers
La matière noire ne parvenant pas à expliquer la présence de grosses galaxies tôt dans l’Univers, une équipe d’astronomes propose tout simplement de s’en passer ! De quoi raviver le vif débat qui secoue la communauté des cosmologistes depuis des décennies…
Les limites de l’Univers, l’opposition martienne, la fusée Wotan, le signal “Wow!” de 1977, les radioamateurs qui écoutent les sondes sont au sommaire du nouveau Ciel & espace. Le Calendrier 2025 accompagne ce numéro.
La recherche de technosignatures s’étend progressivement au domaine extragalactique. Mais il s’agirait alors de civilisations maitrisant l’énergie de leur étoile !
Sa taille le rend si exceptionnel que les astronomes lui ont donné un nom : Porphyrion. Ce jet de particules 140 fois plus étendu que la Voie lactée intrigue les théoriciens. Et si ce genre de flot géant d’énergie avait joué un rôle dans l’évolution de l’Univers ?
Dans le lot de galaxies photographiées par le télescope spatial James Webb, l’une d’elles trahit la présence de jeunes étoiles chaudes et massives. Une observation utile à deux égards : préciser la façon dont l’Univers crée des étoiles, et servir de chainon manquant dans l’évolution des galaxies.
SgrA*, le trou noir de 4 millions de masses solaires qui trône au cœur de notre Galaxie, serait le produit de la collision entre deux trous noirs supermassifs. Un événement qui aurait eu lieu il y a 9 milliards d’années.