Après plus de cinq décennies et une histoire rocambolesque, des roches lunaires prélevées par Neil Armstrong se retrouvent sur une table d’enchères. La fourchette de vente estimée entre 800 000 $ et 2 millions de dollars.
Lorsque la Nasa perd des échantillons de poussière lunaire, cela peut valoir cher, très cher. Le mercredi 13 avril 2022 se tient une vente aux enchères organisée par Bonhams, à New York. Le catalogue met ainsi à l’honneur des objets divers et variés de la conquête spatiale, allant d’une réplique de Spoutnik à des croquis du vaisseau russe Vostok. Mais le lot le plus médiatisé outre-Atlantique n’est autre que les premiers grammes de régolithe prélevés par Neil Armstrong lors de la mission Apollo 11. Ces grains de poussière lunaire ont disparu des inventaires de la Nasa il y a de nombreuses années et sont l’objet d’une vente privée. La valeur de l’enchère est estimée entre 800 000 $ et 1,2 millions de dollars, pour cinq tubes d’aluminium de 10 mm de diamètre
Lorsque la Nasa perd des échantillons de poussière lunaire, cela peut valoir cher, très cher. Le mercredi 13 avril 2022 se tient une vente aux enchères organisée par Bonhams, à New York. Le catalogue met ainsi à l’honneur des objets divers et variés de la conquête spatiale, allant d’une réplique de Spoutnik à des croquis du vaisseau russe Vostok. Mais le lot le plus médiatisé outre-Atlantique n’est autre que les premiers grammes de régolithe prélevés par Neil Armstrong lors de la mission Apollo 11. Ces grains de poussière lunaire ont disparu des inventaires de la Nasa il y a de nombreuses années et sont l’objet d’une vente privée. La valeur de l’enchère est estimée entre 800 000 $ et 1,2 millions de dollars, pour cinq tubes d’aluminium de 10 mm de diamètre...
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Seulement 48 h après l'investiture de Donald Trump, la Nasa a commencé à appliquer le décret du nouveau président des États-Unis, qui exige la suppression de tout programme ou service lié à la DEIA, c'est-à-dire à la diversité, l’équité, l’inclusion et l’accessibilité.
L’avant-dernière planète du Système solaire est aujourd’hui encore méconnue. Visitée une seule fois par Voyager 2, son étude depuis la Terre est compliquée par la distance lointaine. Pourtant, des planètes similaires pourraient représenter entre 30 % et 40 % des exoplanètes dans l’Univers. Pour enfin dévoiler ses secrets, la Nasa envisage d’y envoyer sa prochaine grande mission d’exploration.
Que faut-il penser des nouveaux domaines de l’économie spatiale ? Quels modèles économiques se cachent derrière les mégalanceurs, comme le Spaceship d’Elon Musk, pour qui et pour quoi faire ? Sont-ils réalistes ? Décryptage avec Pierre Lionnet, directeur de recherche à Eurospace.