Vue d'artiste de VIPER sur la Lune, premier rover a posséder une lampe frontale. Crédit : Nasa
Parmi ses nombreux plans à destination de la Lune, la Nasa souhaite faire poser un rover baptisé VIPER au pôle Sud de notre satellite naturel. Principal objectif : cartographier la glace d’eau qui s’y trouve, et poser les premières bases d’une économie lunaire…
Que des astronautes parviennent à rallier la Lune en 2024 ou plus tard, une chose est sûre : ils seront précédés par des machines. En plus de son programme de vols habités Artemis, qui envisage de faire tourner trois astronautes américains et un canadien autour de notre satellite en 2023, avant d’en envoyer deux autres en explorer le pôle Sud l’année suivante, la Nasa a d’abord l’ambition d’y poser une poignée d’atterrisseurs. Et parmi eux, un rover. Baptisé VIPER, pour Volatiles Investigating Polar Exploration Rover, l’engin aura pour mission fin 2023, au plus tôt, de cartographier la glace d’eau — une molécule dite « volatile » car elle se vaporise facilement — présente dans cette région de la Lune.
Dès 2009, la sonde américaine LCROSS a démontré
Que des astronautes parviennent à rallier la Lune en 2024 ou plus tard, une chose est sûre : ils seront précédés par des machines. En plus de son programme de vols habités Artemis, qui envisage de faire tourner trois astronautes américains et un canadien autour de notre satellite en 2023, avant d’en envoyer deux autres en explorer le pôle Sud l’année suivante, la Nasa a d’abord l’ambition d’y poser une poignée d’atterrisseurs. Et parmi eux, un rover. Baptisé VIPER, pour Volatiles Investigating Polar Exploration Rover, l’engin aura pour mission fin 2023, au plus tôt, de cartographier la glace d’eau — une molécule dite « volatile » car elle se vaporise facilement — présente dans cette région de la Lune.
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