Thomas Pesquet lors d'un entraînement Neemo, le 23 août 2019. Crédit : Jimin Zheng
Après sa longue mission sur la station spatiale internationale en 2016–2017, Thomas Pesquet s’apprête à retourner dans l’ISS en 2021. Gestion de la célébrité, préparation de sa future mission, Lune en ligne de mire : l’astronaute français de l’ESA s’est confié à Ciel & Espace.
C’est le dixième astronaute français et aussi sans doute le plus populaire. Thomas Pesquet, bientôt 42 ans, révélé au public à l’occasion de son séjour de six mois à bord de la station spatiale internationale – dont nous avions suivi l’entraînement –, a retrouvé son bureau du Centre européen des astronautes (EAC) à Cologne et le quotidien entre deux missions. « Un moment de la carrière un peu compliqué à gérer, reconnaît-il, parce qu’on n’est jamais capable de mettre une date sur sa future mission. » En ce qui le concerne, les choses se précisent cependant. Vers la fin de l’année 2021, il s’envolera à nouveau pour un long séjour sur l’ISS, lancé dans la capsule Crew Dragon de SpaceX ou la CST-100 Starliner de Boeing. Ensuite, il espère bien pouvoir
C’est le dixième astronaute français et aussi sans doute le plus populaire. Thomas Pesquet, bientôt 42 ans, révélé au public à l’occasion de son séjour de six mois à bord de la station spatiale internationale – dont nous avions suivi l’entraînement –, a retrouvé son bureau du Centre européen des astronautes (EAC) à Cologne et le quotidien entre deux missions. « Un moment de la carrière un peu compliqué à gérer, reconnaît-il, parce qu’on n’est jamais capable de mettre une date sur sa future mission. » En ce qui le concerne, les choses se précisent cependant. Vers la fin de l’année 2021, il s’envolera à nouveau pour un long séjour sur l’ISS, lancé dans la capsule Crew Dragon de SpaceX ou la CST-100 Starliner de Boeing. Ensuite, il espère bien pouvoir...
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Philippe Baptiste discute dans ce grand entretien de « Ciel & espace » des prochains enjeux pour l’espace français et européen. Mais aussi de sa vision d’une recherche libre et performante.
Lancé par SpaceX depuis la base californienne de Vandenberg le 23 juin 2025, le second démonstrateur de la société franco-allemande TEC a été placé avec succès sur orbite avant de revenir sur Terre. Il a cependant disparu des écrans radars quelques minutes avant son amerrissage dans l’océan Pacifique.
En quelques nuits d’observation d’un même champ céleste, le nouveau télescope de 8,4 m de diamètre qui vient d’entrer en service dans les Andes chiliennes a photographié plus de 4000 astéroïdes. Dont plus de la moitié seraient nouveaux. Une moisson qui laisse entrevoir les capacités de cet instrument capable de scanner l’ensemble du ciel au-dessus de lui tous les trois à quatre jours.