Depuis 1971, une étonnante dépression en forme de D, découverte à la surface de la Lune, intrigue les astronomes. Jusqu’à récemment, ceux-ci pensaient qu’il s’agissait d’une zone d’où s’échappait du gaz piégé dans la croûte lunaire. En fait, il s’agirait de la caldeira d’un volcan assez ancien.
Avec Ina, les astronomes pensaient tenir une petite région de la Lune où il se passait des choses. Cette dépression de 2 km sur 3, située dans le lac de la Félicité, presque au centre de la face visible, semblait avoir tous les attributs d’une zone chahutée par de fréquentes émanations gazeuses.
Ne comportant que quelques petits cratères d’impact, elle était considérée comme très jeune : 10 à 50 millions d’années ! Il devait s’agir d’un lieu où la surface était sans cesse retournée, donc rajeunie, par une quelconque activité. En d’autres termes, s’il y avait une chance d’observer un jour quelque chose bouger sur la Lune, c’était bien là.
Le paradoxe des geysers lunaires Le problème, c’est que toute activité volcanique sur la Lune a disparu
Avec Ina, les astronomes pensaient tenir une petite région de la Lune où il se passait des choses. Cette dépression de 2 km sur 3, située dans le lac de la Félicité, presque au centre de la face visible, semblait avoir tous les attributs d’une zone chahutée par de fréquentes émanations gazeuses.
Ne comportant que quelques petits cratères d’impact, elle était considérée comme très jeune : 10 à 50 millions d’années ! Il devait s’agir d’un lieu où la surface était sans cesse retournée, donc rajeunie, par une quelconque activité. En d’autres termes, s’il y avait une chance d’observer un jour quelque chose
bouger sur la Lune, c’était bien là.
Le paradoxe des geysers lunaires Le problème, c’est que toute activité volcanique sur la Lune a disparu...
Pour lire l'article complet,
choisissez notre offre web à seulement 2 €/mois
En savoir plus
Se connecter