Le Centre de données de Strasbourg recueille l’ensemble des images et des mesures collectées par les grands observatoires et en fournit l’accès aux professionnels comme aux amateurs. Un service unique dans le monde.
Dans l’ombre d’un jardin arboré se dessine la grande coupole en fer de l’observatoire de Strasbourg, construit dans un style néo-classique sous l’occupation allemande entre 1876 et 1880. Si le hall a gardé son aura historique, entre pierres sculptées et hauts plafonds, d’étranges câbles multicolores serpentent le long du plafond de l’une des salles méridiennes. Quand on suit les racks fixés à même la pierre blanche, ils mènent jusqu’à une porte métallique au sous-sol : la salle de serveurs, le cœur actif du Centre de données de Strasbourg (CDS).
Derrière cette porte anonyme se cache le cerveau du CDS. Attention au bruit ! © J. Kern/CDS Comme un saut dans le temps, on quitte la tranquillité du vénérable bâtiment pour une pièce sans fenêtre, où
Dans l’ombre d’un jardin arboré se dessine la grande coupole en fer de l’observatoire de Strasbourg, construit dans un style néo-classique sous l’occupation allemande entre 1876 et 1880. Si le hall a gardé son aura historique, entre pierres sculptées et hauts plafonds, d’étranges câbles multicolores serpentent le long du plafond de l’une des salles méridiennes. Quand on suit les racks fixés à même la pierre blanche, ils mènent jusqu’à une porte métallique au sous-sol : la salle de serveurs, le cœur actif du Centre de données de Strasbourg (CDS).
Derrière cette porte anonyme se cache le cerveau du CDS. Attention
au bruit ! © J. Kern/CDS Comme un saut dans le temps, on quitte la tranquillité du vénérable bâtiment pour une pièce sans fenêtre, où...
Pour lire l'article complet,
choisissez notre offre web à seulement 2 €/mois
En savoir plus
Se connecter