Depuis l’effondrement du radiotélescope d’Arecibo en 2020, nombre de scientifiques plaident pour la reconstruction d’un instrument géant sur l’ile de Porto Rico. De nouveaux projets ont déjà été proposés. Mais pour qu’ils naissent, il faut pouvoir les financer.
« El Radar se cayó. » Comprenez : « Le radar s’est effondré. » Le 1er décembre 2020, la phrase était sur toutes les lèvres des habitants de Porto Rico. Juste après le lever du soleil, par une météo pourtant clémente, un vacarme a retenti en provenance du radiotélescope géant d’Arecibo, baptisé El Radar sur l’ile. Depuis le passage de l’ouragan Maria en 2017, en plus d’une série de séismes ultérieurs, le dôme grégorien, sorte de boule blanche collectrice d’ondes accrochée à la plateforme à 140 m de haut, pendait telle une épée de Damoclès au-dessus du réflecteur en contrebas. Les câbles ont finalement cédé, provoquant la chute de 900 tonnes de matériel venant ravager près d’un tiers de l’antenne de 300 m de diamètre. Un scénario à
« El Radar se cayó. » Comprenez : « Le radar s’est effondré. » Le 1er décembre 2020, la phrase était sur toutes les lèvres des habitants de Porto Rico. Juste après le lever du soleil, par une météo pourtant clémente, un vacarme a retenti en provenance du radiotélescope géant d’Arecibo, baptisé El Radar sur l’ile. Depuis le passage de l’ouragan Maria en 2017, en plus d’une série de séismes ultérieurs, le dôme grégorien, sorte de boule blanche collectrice d’ondes accrochée à la plateforme à 140 m de haut, pendait telle une épée de Damoclès au-dessus du réflecteur en contrebas. Les câbles ont finalement
cédé, provoquant la chute de 900 tonnes de matériel venant ravager près d’un tiers de l’antenne de 300 m de diamètre. Un scénario à...
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