Le passage de l’astéroïde 2019 OK à seulement 77000 km de la Terre dans la nuit du 24 au 25 juillet 2019 a suscité une interrogation : pourquoi un tel objet, d’environ 100 m de diamètre, n’a-t-il été découvert que quelques heures avant sa rencontre rapprochée avec notre planète ? Retour sur un enchaînement de faits qui décrit l’état actuel des moyens de détections de ces astéroïdes potentiellement dangereux.
Il est minuit passé de 17 minutes, le 25 juillet 2019, quand le Minor Planet Center, l’organisme de l’Union astronomique internationale qui est chargé du suivi des petits corps du Système solaire, annonce la découverte d’un astéroïde, 2019 OK. Mais celui-ci, crédité d’une taille d’environ 100 m, est particulier : sa trajectoire va le mener à seulement 72000 km de la Terre trois heures plus tard… Autrement dit, à l’échelle du Système solaire, ce corps rocheux est passé extrêmement près de notre planète. Il aurait aussi bien pu la percuter. Et vu sa taille, estimée entre 60 et 130 m, bien supérieure à celle de l’objet de Tchéliabinsk en 2013, il aurait provoqué une catastrophe. En d’autres termes, 2019 OK était un astéroïde de taille conséquente, potentiellement
Il est minuit passé de 17 minutes, le 25 juillet 2019, quand le Minor Planet Center, l’organisme de l’Union astronomique internationale qui est chargé du suivi des petits corps du Système solaire, annonce la découverte d’un astéroïde, 2019 OK. Mais celui-ci, crédité d’une taille d’environ 100 m, est particulier : sa trajectoire va le mener à seulement 72000 km de la Terre trois heures plus tard… Autrement dit, à l’échelle du Système solaire, ce corps rocheux est passé extrêmement près de notre planète. Il aurait aussi bien pu la percuter. Et vu sa taille, estimée entre 60 et 130 m, bien supérieure à celle de l’objet de Tchéliabinsk en 2013, il aurait provoqué une catastrophe. En d’autres termes, 2019 OK était un astéroïde de taille conséquente, potentiellement...
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Alors que l’engin était déjà assemblé, l’agence spatiale américaine a subitement mis un terme à son projet de rover VIPER à destination du pôle sud de la Lune. Une pétition est ouverte par les scientifiques pour sauver l’astromobile, tandis que la Nasa se dit ouverte à céder VIPER à qui voudrait lui offrir un nouveau destin.
Pilote sur la future mission Artemis 2, qui verra les humains retourner vers la Lune pour la première fois depuis 1972, Victor Glover nous a accordé une interview exclusive. Au Johnson Space Center (JSC), où il s'entraîne pour son vol historique prévu pour l’automne 2025, il se confie sur son rôle de nouveau pionnier, de symbole de diversité et sur sa gestion des risques inhérents à cette mission pas comme les autres.
Le 13 avril 2029, l’astéroïde géocroiseur de 375 m Apophis passera à seulement 32 000 km de notre planète. L’ESA vient d’annoncer qu’une sonde européenne, Ramses, sera lancée pour étudier le comportement du petit corps à cette occasion.