L’étude des planètes nécessite de disposer des bons outils et la Terre, comme les autres, n’échappe pas à la règle. L’Agence spatiale européenne (ESA) a donc lancé le satellite Biomass pour quantifier le carbone contenu dans les forêts du globe. Les données attendues viendront compléter celles obtenues au sol.
Lancé le 29 avril dernier par Vega-C (VV26) et à présent installé à 666 km d’altitude sur orbite héliosynchrone (SSO) inclinée à 98°, le satellite Biomass, du programme Future EO de l’ESA, a pour mission, au cours des 5 prochaines années, de mesurer le carbone stocké dans les forêts tropicales. Mais pour être bien interprétées, ses observations depuis l’espace ne suffisent pas. Elles doivent s’accompagner d’une étude depuis le sol. C’est pourquoi, dans plusieurs sites du réseau international Geo-Trees, répartis sur toute la planète, des chercheurs vont effectuer des mesures simultanées sur le terrain. L’un d’eux se trouve à la station scientifique de Paracou, en Guyane française. Diverses mesures y sont effectuées quotidiennement depuis maintenant une
Lancé le 29 avril dernier par Vega-C (VV26) et à présent installé à 666 km d’altitude sur orbite héliosynchrone (SSO) inclinée à 98°, le satellite Biomass, du programme Future EO de l’ESA, a pour mission, au cours des 5 prochaines années, de mesurer le carbone stocké dans les forêts tropicales. Mais pour être bien interprétées, ses observations depuis l’espace ne suffisent pas. Elles doivent s’accompagner d’une étude depuis le sol. C’est pourquoi, dans plusieurs sites du réseau international Geo-Trees, répartis sur toute la planète, des chercheurs vont effectuer des mesures simultanées sur le terrain. L’un d’eux se trouve à la station scientifique de Paracou, en Guyane française. Diverses mesures y sont effectuées quotidiennement depuis maintenant une...
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Le vaisseau Starship qui devait bientôt décoller pour l’espace a explosé sur son banc d’essai au Texas. Un échec spectaculaire qui retarde encore un peu son développement.
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En comparant de la poussière martienne fabriquée en laboratoire avec les données des sondes spatiales, une équipe scientifique a identifié quel type de rouille donnait sa couleur rouge à Mars. Cet oxyde de fer pourrait résulter de la fonte de glaces survenue il y a plus de 3 milliards d’années.