La Nasa envisage de se servir de champignons pour créer des habitats sur Mars ou sur la Lune. Cette idée curieuse permettrait des économies d’énergie considérables pour l’exploration spatiale. Les retombées de ces recherches pourraient même être bénéfiques à notre planète…
Quel pourrait être le point commun entre un astronaute martien et un Schtroumpf ? Tous deux ont une maison en champignon. La Nasa étudie en effet la réalisation de logements sur Mars ou sur la Lune en mycélium, la partie souterraine du champignon. Cette structure végétale filamenteuse, qui occupe en grande partie les sols des forêts, est capable de pousser rapidement et sa croissance peut être contrôlée pour former un matériau de construction. Lynn Rothschild, la biologiste à la tête du projet mycoarchitecture, explique l’intérêt de cette innovation : « Pour le moment, l’habitat pour Mars est conçu comme une tortue : nous transportons notre maison sur notre dos. Un plan fiable, mais avec d’énormes coûts énergétiques. À la place, nous pouvons exploiter le mycélium
Quel pourrait être le point commun entre un astronaute martien et un Schtroumpf ? Tous deux ont une maison en champignon. La Nasa étudie en effet la réalisation de logements sur Mars ou sur la Lune en mycélium, la partie souterraine du champignon. Cette structure végétale filamenteuse, qui occupe en grande partie les sols des forêts, est capable de pousser rapidement et sa croissance peut être contrôlée pour former un matériau de construction. Lynn Rothschild, la biologiste à la tête du projet mycoarchitecture, explique l’intérêt de cette innovation : « Pour le moment, l’habitat pour Mars est conçu comme une tortue : nous transportons notre maison sur notre dos. Un plan fiable, mais avec d’énormes coûts énergétiques. À la place, nous pouvons exploiter le mycélium...
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Perseverance a-t-il mis la main sur de potentiels signes de vie martienne ? Le rover américain a fait une découverte prometteuse en la matière. Toutefois, si l’hypothèse d’un indice de vie passée ne peut être écartée, la Nasa a clairement exagéré la portée de la découverte.
La fusion de deux galaxies est peut-être en train de nous montrer les premiers instants d’un trou noir supermassif, à 8,3 milliards d’années-lumière de nous, dans la constellation du Sextant.
Du 3 au 24 septembre, la galerie Gallimard propose une exposition consacrée à la belle époque des sciences populaires chez Flammarion. L’occasion d’y voir de superbes illustrations originales, dont neuf inédits du peintre Lucien Rudaux oubliés dans les cartons depuis 1913.