La Nasa envisage de se servir de champignons pour créer des habitats sur Mars ou sur la Lune. Cette idée curieuse permettrait des économies d’énergie considérables pour l’exploration spatiale. Les retombées de ces recherches pourraient même être bénéfiques à notre planète…
Quel pourrait être le point commun entre un astronaute martien et un Schtroumpf ? Tous deux ont une maison en champignon. La Nasa étudie en effet la réalisation de logements sur Mars ou sur la Lune en mycélium, la partie souterraine du champignon. Cette structure végétale filamenteuse, qui occupe en grande partie les sols des forêts, est capable de pousser rapidement et sa croissance peut être contrôlée pour former un matériau de construction. Lynn Rothschild, la biologiste à la tête du projet mycoarchitecture, explique l’intérêt de cette innovation : « Pour le moment, l’habitat pour Mars est conçu comme une tortue : nous transportons notre maison sur notre dos. Un plan fiable, mais avec d’énormes coûts énergétiques. À la place, nous pouvons exploiter le mycélium
Quel pourrait être le point commun entre un astronaute martien et un Schtroumpf ? Tous deux ont une maison en champignon. La Nasa étudie en effet la réalisation de logements sur Mars ou sur la Lune en mycélium, la partie souterraine du champignon. Cette structure végétale filamenteuse, qui occupe en grande partie les sols des forêts, est capable de pousser rapidement et sa croissance peut être contrôlée pour former un matériau de construction. Lynn Rothschild, la biologiste à la tête du projet mycoarchitecture, explique l’intérêt de cette innovation : « Pour le moment, l’habitat pour Mars est conçu comme une tortue : nous transportons notre maison sur notre dos. Un plan fiable, mais avec d’énormes coûts énergétiques. À la place, nous pouvons exploiter le mycélium...
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Un équipage américano-russe s’est envolé vers la station spatiale internationale à bord d’un vaisseau russe. Les trois astronautes ont rejoint le complexe orbital au terme d’un voyage de 3 heures. Leur mission doit durer 8 mois.
Rendu public lors d’une conférence de presse le 25 novembre, un rapport de l’institut La Boétie détaille la vision de la politique spatiale soutenue par le parti La France Insoumise (LFI). Avec comme mesures phares : se dégager de l’Otan ou des accords Artemis, nationaliser ArianeGroup et les start-ups spatiales, lutter contre la pollution lumineuse et les mégaconstellations de satellites.
La Nasa et Boeing ont convenu que la prochaine capsule Starliner effectuera une mission cargo vers la station spatiale internationale en avril 2026. Si la sûreté du vaisseau est démontrée, il pourra ensuite transporter entre trois et cinq équipages d’astronautes.