Une équipe américaine annonce avoir démontré quel phénomène a fait perdre son éclat à l’étoile principale de la constellation d’Orion au début de 2020. Pourtant, des questions demeurent. Jusqu’à faire douter de l’explication séduisante avancée par l’équipe.
Saura-t-on un jour ce qui est arrivé à Bételgeuse entre novembre 2019 et avril 2020 ? Malgré l’annonce d’une solution convaincante par l’équipe d’Andrea Dupree, au Center for Astrophysics, à Havard, rien n’est moins sûr. Après des mois d’observations et de calculs de plusieurs équipes, cette chercheuse vient de publier, le 13 août, dans l’Astrophysical Journal, un article qui confirme l’une des hypothèses avancées auparavant : l’étoile aurait éjecté subitement une grande quantité de masse, sous forme de gaz, presque exactement en direction de la Terre. En se refroidissant, ce gaz se serait condensé en poussière qui aurait, pendant plusieurs semaines, voilé la surface de l’étoile.
Des observations du télescope spatial Hubble… Pour appuyer cette
Saura-t-on un jour ce qui est arrivé à Bételgeuse entre novembre 2019 et avril 2020 ? Malgré l’annonce d’une solution convaincante par l’équipe d’Andrea Dupree, au Center for Astrophysics, à Havard, rien n’est moins sûr. Après des mois d’observations et de calculs de plusieurs équipes, cette chercheuse vient de publier, le 13 août, dans l’Astrophysical Journal, un article qui confirme l’une des hypothèses avancées auparavant : l’étoile aurait éjecté subitement une grande quantité de masse, sous forme de gaz, presque exactement en direction de la Terre. En se refroidissant, ce gaz se serait condensé en poussière qui aurait, pendant plusieurs semaines, voilé la surface de l’étoile.
Des observations du télescope spatial Hubble… Pour appuyer cette...
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Le petit corps céleste qui gravite sur une orbite très voisine de celle de la Terre semble avoir la Lune pour origine. Outre sa composition, des simulations de trajectoire militent en ce sens. Un cratère est même suspecté : Giordano Bruno.
L’Univers est en expansion. Soit. Mais à quelle vitesse ? Selon la méthode utilisée, ce taux d’expansion, ou constante de Hubble, varie. Et les mesures les plus récentes viennent encore confirmer cette tension. Au point que des cosmologistes mettent en cause les modèles théoriques les mieux établis.
Un groupe d’étoiles à la luminosité extraordinairement faible vient d’être détecté dans le voisinage de notre galaxie. Sa masse visible ne compte que pour 16 masses solaires ! Un record qui pose beaucoup de questions.