Le britannique Bil Bungay devant la météorite qu'il a confié au Museum d'Histoire Naturelle. Crédit : David Fossé/C&E
Le 13 février 2023, un astéroïde repéré dans le ciel quelques heures plus tôt frappait l’atmosphère terrestre et se désintégrait au-dessus de la Normandie. Rachetée à son découvreur par un mécène, la plus grosse météorite issue de cette chute exceptionnelle vient de rejoindre la collection du Muséum national d’histoire naturelle, à Paris.
« J’ai racheté cette météorite parce que je veux qu’elle reste intacte. C’est une chute historique ! Elle mérite d’être exposée dans le pays où elle est tombée plutôt que d’être vendue à la découpe. » Lorsqu’on l’interroge sur les motivations qui l’ont conduit à faire l’acquisition du plus gros fragment de la météorite de Saint-Pierre-le-Viger, reliquat de l’astéroïde 2023 CX1 qui a frappé la Terre le 13 février 2023, Bil Bungay se fait lyrique : « La chute d’une météorite, c’est une rencontre entre le ciel et la Terre. Un évènement très rare dont les gens se souviennent pendant des siècles. On parle toujours, après plus de 200 ans, de la météorite de L’Aigle… Eh bien, celle-ci est exceptionnelle elle aussi. »
L’entrepreneur
« J’ai racheté cette météorite parce que je veux qu’elle reste intacte. C’est une chute historique ! Elle mérite d’être exposée dans le pays où elle est tombée plutôt que d’être vendue à la découpe. » Lorsqu’on l’interroge sur les motivations qui l’ont conduit à faire l’acquisition du plus gros fragment de la météorite de Saint-Pierre-le-Viger, reliquat de l’astéroïde 2023 CX1 qui a frappé la Terre le 13 février 2023, Bil Bungay se fait lyrique : « La chute d’une météorite, c’est une rencontre entre le ciel et la Terre. Un évènement très rare dont les gens se souviennent pendant des siècles. On parle toujours, après plus de 200 ans, de la météorite de L’Aigle… Eh bien, celle-ci est exceptionnelle elle aussi. »
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