Avant le début de la guerre, l’Ukraine comptait 80 000 scientifiques, dont des centaines d’astronomes. Certains sont contraints à l’exil, d’autres condamnés à rester sur place. Mais pour tous, le maître-mot est « résister ». Et pour ça, ils peuvent compter sur l’aide de collègues étrangers.
« Un collègue ukrainien nous a demandé de l’aide pour sa famille », témoigne Mirel Birlan. Cet astronome roumain a longtemps occupé un bureau de l’Institut de mécanique céleste, à l’observatoire de Paris. Il s’est retrouvé confronté à la réalité brutale de la guerre depuis qu’il a pris la direction de l’observatoire de Bucarest.
Mykolaïv, sur les bords de la mer Noire « Notre institut avait déjà entamé des collaborations à partir de 2003-2004 avec l’observatoire de Mykolaïv », explique-t-il. Ce lieu emblématique fondé en 1821 est l’un des plus anciens observatoires de l’Europe de l’Est. Le site est spécialisé dans l’étude du Système solaire, précisément le domaine de prédilection de Mirel Birlan. Coincé entre Kherson et Odessa, Mykolaïv
« Un collègue ukrainien nous a demandé de l’aide pour sa famille », témoigne Mirel Birlan. Cet astronome roumain a longtemps occupé un bureau de l’Institut de mécanique céleste, à l’observatoire de Paris. Il s’est retrouvé confronté à la réalité brutale de la guerre depuis qu’il a pris la direction de l’observatoire de Bucarest.
Mykolaïv, sur les bords de la mer Noire « Notre institut avait déjà entamé des collaborations à partir de 2003-2004 avec l’observatoire de Mykolaïv », explique-t-il. Ce lieu emblématique fondé en 1821 est l’un des plus anciens observatoires de l’Europe de l’Est. Le site
est spécialisé dans l’étude du Système solaire, précisément le domaine de prédilection de Mirel Birlan. Coincé entre Kherson et Odessa, Mykolaïv...
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