En 2005, le Congrès américain a donné 15 ans à la Nasa pour répertorier les astéroïdes de 140 m et plus potentiellement dangereux pour la Terre. En vain. L’agence a pourtant dans ses cartons un projet de télescope spatial capable d’atteindre l’objectif. Après des années d’atermoiement, la situation semble enfin se débloquer.
« La chance n’est pas un plan », tel est le leitmotiv de Richard Binzel. Ce professeur au MIT est un des plus grands spécialistes mondiaux des astéroïdes et il milite pour que la Nasa remplisse l’une des missions que lui a confiées l’État américain : protéger la Terre du risque d’impact céleste. En effet, en 2005, la Chambre des représentants a adopté une directive concernant la prévention d’une éventuelle collision avec un astéroïde. Ce texte toujours en vigueur « exige que la Nasa mette en œuvre un programme d’observation des objets géocroiseurs [qui croisent l’orbite de la Terre, NDLR] pour les détecter, les suivre, les cataloguer et déterminer leurs caractéristiques physiques. Il concerne les astéroïdes et les comètes proches d’au moins 100 m
« La chance n’est pas un plan », tel est le leitmotiv de Richard Binzel. Ce professeur au MIT est un des plus grands spécialistes mondiaux des astéroïdes et il milite pour que la Nasa remplisse l’une des missions que lui a confiées l’État américain : protéger la Terre du risque d’impact céleste. En effet, en 2005, la Chambre des représentants a adopté une directive concernant la prévention d’une éventuelle collision avec un astéroïde. Ce texte toujours en vigueur « exige que la Nasa mette en œuvre un programme d’observation des objets géocroiseurs [qui croisent l’orbite de la Terre, NDLR] pour les détecter, les suivre, les cataloguer et déterminer leurs caractéristiques physiques. Il concerne les astéroïdes et les comètes proches d’au moins 100 m...
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