Un rapport d'un bureau du gouvernement américain pointe des retards dans la mise au point du Human Landing System, le vaisseau destiné à déposer des astronautes sur la Lune. Mais aussi sur la confection des nouveaux scaphandres lunaires.
Ce que de nombreux observateurs pressentaient est en train de se confirmer : la mission Artemis 3, censée déposer les prochains astronautes américains sur le sol lunaire pourrait ne pas avoir lieu en 2025. Et elle pourrait même glisser au moins jusqu’à 2027. C’est ce qu’il ressort de la lecture d’un rapport rendu public le 30 novembre 2023 par le GAO (ou Government Accountability Office), un groupe d’experts chargé de fournir régulièrement au Congrès et aux grandes agences publiques américaines une information factuelle et non partisane sur l’état des finances. Dans son rapport intitulé « Nasa Artemis programs : Crewed Moon landing faces multiples challenges », le GAO indique en préambule : « Une quantité significative de travail complexe demeure. En conséquence,
Ce que de nombreux observateurs pressentaient est en train de se confirmer : la mission Artemis 3, censée déposer les prochains astronautes américains sur le sol lunaire pourrait ne pas avoir lieu en 2025. Et elle pourrait même glisser au moins jusqu’à 2027. C’est ce qu’il ressort de la lecture d’un rapport rendu public le 30 novembre 2023 par le GAO (ou Government Accountability Office), un groupe d’experts chargé de fournir régulièrement au Congrès et aux grandes agences publiques américaines une information factuelle et non partisane sur l’état des finances. Dans son rapport intitulé « Nasa Artemis programs : Crewed Moon landing faces multiples challenges », le GAO indique en préambule : « Une quantité significative de travail complexe demeure. En conséquence,...
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Philippe Baptiste discute dans ce grand entretien de « Ciel & espace » des prochains enjeux pour l’espace français et européen. Mais aussi de sa vision d’une recherche libre et performante.
Lancé par SpaceX depuis la base californienne de Vandenberg le 23 juin 2025, le second démonstrateur de la société franco-allemande TEC a été placé avec succès sur orbite avant de revenir sur Terre. Il a cependant disparu des écrans radars quelques minutes avant son amerrissage dans l’océan Pacifique.
En quelques nuits d’observation d’un même champ céleste, le nouveau télescope de 8,4 m de diamètre qui vient d’entrer en service dans les Andes chiliennes a photographié plus de 4000 astéroïdes. Dont plus de la moitié seraient nouveaux. Une moisson qui laisse entrevoir les capacités de cet instrument capable de scanner l’ensemble du ciel au-dessus de lui tous les trois à quatre jours.