Sur Mars, l’engin de forage de la sonde Insight est subitement remonté en surface alors qu’il avait pourtant bien commencé à s’enfoncer dans le sol. Une situation délicate.
Forer sur les autres corps du Système solaire est décidément bien difficile. On se souvient des difficultés rencontrées par les astronautes d’Apollo sur la Lune. Et aussi du succès mitigé de la pelle mécanique de la sonde Phoenix sur Mars. La foreuse d’Insight n’aura, jusque-là, pas eu plus de réussite. Déjà bloquée une première fois le 28 février 2019 après 30 cm de pénétration dans le sol martien, elle avait été remise en fonctionnement le 18 octobre. Aidée par la pelle robot d’Insight, la « taupe », comme l’appellent les spécialistes, s’était de nouveau enfoncée. Mais, le 27 octobre, coup de théâtre : la taupe est soudainement ressortie. Comme si on l’avait vigoureusement repoussée vers le haut. Depuis, elle reste en grande partie à l’air
Forer sur les autres corps du Système solaire est décidément bien difficile. On se souvient des difficultés rencontrées par les astronautes d’Apollo sur la Lune. Et aussi du succès mitigé de la pelle mécanique de la sonde Phoenix sur Mars. La foreuse d’Insight n’aura, jusque-là, pas eu plus de réussite. Déjà bloquée une première fois le 28 février 2019 après 30 cm de pénétration dans le sol martien, elle avait été remise en fonctionnement le 18 octobre. Aidée par la pelle robot d’Insight, la « taupe », comme l’appellent les spécialistes, s’était de nouveau enfoncée. Mais, le 27 octobre, coup de théâtre : la taupe est soudainement ressortie. Comme si on l’avait vigoureusement repoussée vers le haut. Depuis, elle reste en grande partie à l’air...
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Philippe Baptiste discute dans ce grand entretien de « Ciel & espace » des prochains enjeux pour l’espace français et européen. Mais aussi de sa vision d’une recherche libre et performante.
Lancé par SpaceX depuis la base californienne de Vandenberg le 23 juin 2025, le second démonstrateur de la société franco-allemande TEC a été placé avec succès sur orbite avant de revenir sur Terre. Il a cependant disparu des écrans radars quelques minutes avant son amerrissage dans l’océan Pacifique.
En quelques nuits d’observation d’un même champ céleste, le nouveau télescope de 8,4 m de diamètre qui vient d’entrer en service dans les Andes chiliennes a photographié plus de 4000 astéroïdes. Dont plus de la moitié seraient nouveaux. Une moisson qui laisse entrevoir les capacités de cet instrument capable de scanner l’ensemble du ciel au-dessus de lui tous les trois à quatre jours.