Une gigantesque installation de production d’énergie pourrait être construite à côté des observatoires du Cerro Paranal, au Chili, menaçant l’un des ciels les plus sombres de la planète.
« Des sites comme ça, il n’en reste pratiquement plus sur la planète. On les compte sur les doigts d’une seule main. » Quand il prononce ces mots, le physicien canadien Martin Aubé ne s’avance pas à la légère. Celui qui est à l’origine de la première réserve de ciel étoilé dans le monde, celle du mont Mégantic, sensibilise le public à la pollution lumineuse depuis des décennies. Mais aujourd’hui, ses inquiétudes se portent sur les observatoires situés au sommet du Cerro Paranal, au Chili. Un site astronomique protégé par le courant océanique de Humboldt, qui empêche la formation de nuages, ainsi que par l’aridité du désert d’Atacama. Depuis 1999, les quatre télescopes géants du Very Large Telescope (VLT) de l’ESO observent les profondeurs du ciel
« Des sites comme ça, il n’en reste pratiquement plus sur la planète. On les compte sur les doigts d’une seule main. » Quand il prononce ces mots, le physicien canadien Martin Aubé ne s’avance pas à la légère. Celui qui est à l’origine de la première réserve de ciel étoilé dans le monde, celle du mont Mégantic, sensibilise le public à la pollution lumineuse depuis des décennies. Mais aujourd’hui, ses inquiétudes se portent sur les observatoires situés au sommet du Cerro Paranal, au Chili. Un site astronomique protégé par le courant océanique de Humboldt, qui empêche la formation de nuages, ainsi que par l’aridité du désert d’Atacama. Depuis 1999, les quatre télescopes géants du Very Large Telescope (VLT) de l’ESO observent les profondeurs du ciel...
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