Perdu dans l’espace depuis quatre ans, un nanosatellite lancé pour chercher des exoplanètes a redonné signe de vie. Ses concepteurs rétablissent le dialogue et tentent de savoir ce qui a bien pu lui arriver.
Mais que s’est-il donc passé à bord du nanosatellite français PicSat, lancé en janvier 2018 et qui, depuis fin mars de la même année, n’avait plus donné signe de vie ? C’est la question à laquelle tentent de répondre les astronomes qui avaient mis sur pied cette mission, à l’observatoire de Meudon, près de Paris. Car depuis le 22 juin 2022, comme par miracle, des radio-amateurs captent à nouveau un signal en provenance de ce minuscule télescope spatial en orbite à 480 km d’altitude. Conçu pour tenter d’apercevoir le transit d’une exoplanète devant l’étoile Bêta Pictoris (d’où son nom) celui-ci était considéré comme perdu. Il avait toute simplement cessé d’émettre après des débuts difficiles.
PicSat a un peu froid… C’était sans compter
Mais que s’est-il donc passé à bord du nanosatellite français PicSat, lancé en janvier 2018 et qui, depuis fin mars de la même année, n’avait plus donné signe de vie ? C’est la question à laquelle tentent de répondre les astronomes qui avaient mis sur pied cette mission, à l’observatoire de Meudon, près de Paris. Car depuis le 22 juin 2022, comme par miracle, des radio-amateurs captent à nouveau un signal en provenance de ce minuscule télescope spatial en orbite à 480 km d’altitude. Conçu pour tenter d’apercevoir le transit d’une exoplanète devant l’étoile Bêta Pictoris (d’où son nom) celui-ci était considéré comme perdu. Il avait toute simplement cessé d’émettre après des débuts difficiles.
PicSat a un peu froid… C’était sans compter...
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