Jean-Alix Barrat a longtemps pensé que l’eau terrestre nous venait de comètes et astéroïdes tombés après l’impact géant qui a donné naissance à la Lune. Mais ce n’est plus le cas. « Il faut regarder les données en face », explique le coauteur de l’étude publié ce 28 mars dans Science Advances.
Il en est certain, « tout le monde ne sera pas d’accord avec nos conclusions et il va y avoir des remous ». Pourtant, Jean-Alix Barrat a l’assurance tranquille de ceux qui pensent que les données ne sauraient mentir. Avec le Britannique Richard Greenwood et six autres chercheurs, le professeur de l’université de Bretagne occidentale signe ce mois-ci dans Science Advances un article étonnant — détonnant, même. En résumé : l’essentiel de l’eau terrestre proviendrait d’une époque antérieure à la grande collision qui a donné naissance à la Lune — cet impact géant qui a eu lieu environ 50 millions d’années après la formation de la Terre et dont les protagonistes étaient notre planète et Théia, un corps de la taille de Mars. Quelles sont les conséquences
Il en est certain, « tout le monde ne sera pas d’accord avec nos conclusions et il va y avoir des remous ». Pourtant, Jean-Alix Barrat a l’assurance tranquille de ceux qui pensent que les données ne sauraient mentir. Avec le Britannique Richard Greenwood et six autres chercheurs, le professeur de l’université de Bretagne occidentale signe ce mois-ci dans Science Advances un article étonnant — détonnant, même. En résumé : l’essentiel de l’eau terrestre proviendrait d’une époque antérieure à la grande collision qui a donné naissance à la Lune — cet impact géant qui a eu lieu environ 50 millions d’années après la formation de la Terre et dont les protagonistes étaient notre planète et Théia, un corps de la taille de Mars. Quelles sont les conséquences...
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Alors que l’engin était déjà assemblé, l’agence spatiale américaine a subitement mis un terme à son projet de rover VIPER à destination du pôle sud de la Lune. Une pétition est ouverte par les scientifiques pour sauver l’astromobile, tandis que la Nasa se dit ouverte à céder VIPER à qui voudrait lui offrir un nouveau destin.
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Le 13 avril 2029, l’astéroïde géocroiseur de 375 m Apophis passera à seulement 32 000 km de notre planète. L’ESA vient d’annoncer qu’une sonde européenne, Ramses, sera lancée pour étudier le comportement du petit corps à cette occasion.