Rapporter des échantillons de Mars, explorer Titan, déployer le télescope spatial James Webb, retourner sur la Lune… Les défis ne manquent pas pour la Nasa. Ce qui n’est pas pour déplaire à Thomas Zurbuchen, son responsable scientifique.
Administrateur associé et responsable de la science à la Nasa, Thomas Zurbuchen est le n° 2 de l’agence spatiale américaine, juste après l’administrateur Jim Bridenstine. Originaire de Suisse, il a mené une carrière de chercheur en science solaire aux États-Unis, participé activement à plusieurs missions de la Nasa consacrées au Soleil et à Mercure, avant de prendre ses fonctions actuelles en octobre 2016. Sur le site Internet de l’agence, il est décrit comme « ayant réussi à créer un environnement dans lequel les équipes travaillent ensemble pour atteindre des objectifs ambitieux, excellent bien au-delà du résultat escompté ». Lors de l’interview qu’il a accordée à Ciel & espace, en marge de la conférence mondiale des journalistes scientifiques qui s’est
Administrateur associé et responsable de la science à la Nasa, Thomas Zurbuchen est le n° 2 de l’agence spatiale américaine, juste après l’administrateur Jim Bridenstine. Originaire de Suisse, il a mené une carrière de chercheur en science solaire aux États-Unis, participé activement à plusieurs missions de la Nasa consacrées au Soleil et à Mercure, avant de prendre ses fonctions actuelles en octobre 2016. Sur le site Internet de l’agence, il est décrit comme « ayant réussi à créer un environnement dans lequel les équipes travaillent ensemble pour atteindre des objectifs ambitieux, excellent bien au-delà du résultat escompté ». Lors de l’interview qu’il a accordée à Ciel & espace, en marge de la conférence mondiale des journalistes scientifiques qui s’est...
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En comparant de la poussière martienne fabriquée en laboratoire avec les données des sondes spatiales, une équipe scientifique a identifié quel type de rouille donnait sa couleur rouge à Mars. Cet oxyde de fer pourrait résulter de la fonte de glaces survenue il y a plus de 3 milliards d’années.
L’astronomie gamma s’intéresse aux phénomènes les plus violents de l’Univers. Mathieu de Naurois nous détaille les découvertes réalisées dans ce domaine assez récent de l’astrophysique.
Le corps céleste 2017 OF201 découvert aux confins du Système solaire pourrait mesurer plus de 700 km de diamètre. Sa taille et son orbite atypique en font un candidat sérieux au statut de planète naine, et bousculent les théories sur la mystérieuse Planète 9.