Une nouvelle exploitation de données satellites a permis de déterminer où s’est vraisemblablement écrasé le vol MH370 de Malaysia Airlines, disparu dans l’océan Indien le 8 mars 2014 dans des circonstances mystérieuses.
« C'est une erreur capitale de théoriser avant d’avoir des données. Insensiblement, on commence à déformer les faits en fonction des théories, au lieu de théoriser en fonction des faits. » C’est avec cette phrase de Sherlock Holmes que s’ouvre le nouveau rapport d’enquête sur le plus grand mystère de l’histoire de l’aviation : la disparition du vol MH370 dans l’océan Indien le 8 mars 2014. Ce rapport est issu de l’Independent Group : des experts bénévoles spécialisés en astrophysique, en physique, en mathématiques, en aéronautique et en techniques spatiales. Ils troquent la loupe du célèbre détective contre les données satellites, beaucoup de science et des statistiques. Avec ces outils, ils trouvent un point, selon eux le plus probable, pour le crash
« C'est une erreur capitale de théoriser avant d’avoir des données. Insensiblement, on commence à déformer les faits en fonction des théories, au lieu de théoriser en fonction des faits. » C’est avec cette phrase de Sherlock Holmes que s’ouvre le nouveau rapport d’enquête sur le plus grand mystère de l’histoire de l’aviation : la disparition du vol MH370 dans l’océan Indien le 8 mars 2014. Ce rapport est issu de l’Independent Group : des experts bénévoles spécialisés en astrophysique, en physique, en mathématiques, en aéronautique et en techniques spatiales. Ils troquent la loupe du célèbre détective contre les données satellites, beaucoup de science et des statistiques. Avec ces outils, ils trouvent un point, selon eux le plus probable, pour le crash...
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Alors que l’engin était déjà assemblé, l’agence spatiale américaine a subitement mis un terme à son projet de rover VIPER à destination du pôle sud de la Lune. Une pétition est ouverte par les scientifiques pour sauver l’astromobile, tandis que la Nasa se dit ouverte à céder VIPER à qui voudrait lui offrir un nouveau destin.
Pilote sur la future mission Artemis 2, qui verra les humains retourner vers la Lune pour la première fois depuis 1972, Victor Glover nous a accordé une interview exclusive. Au Johnson Space Center (JSC), où il s'entraîne pour son vol historique prévu pour l’automne 2025, il se confie sur son rôle de nouveau pionnier, de symbole de diversité et sur sa gestion des risques inhérents à cette mission pas comme les autres.
Le 13 avril 2029, l’astéroïde géocroiseur de 375 m Apophis passera à seulement 32 000 km de notre planète. L’ESA vient d’annoncer qu’une sonde européenne, Ramses, sera lancée pour étudier le comportement du petit corps à cette occasion.