L'impact de la comète Schoemaker-Levy en 1994 vu par le télescope spatial Hubble. Crédit : NASA / ESA.
Les observations montrent que 20 à 60 impacts majeurs d’astéroïdes et de comètes ont lieu tous les ans sur Jupiter. Un résultat rendu possible par la mobilisation permanente des astronomes amateurs qui photographient sans cesse la planète géante.
Au cours des dix dernières années, huit collisions entre Jupiter et des astéroïdes ont été détectées. Et toutes, sans exception, sont le fruit d’observations menées par des astronomes amateurs ! La dernière remonte au 7 août 2019. Et une autre, encore en cours d’analyse, a peut-être été perçue le 30 août. En multipliant ainsi les données sur les impacts qui surviennent sur la plus massive des planètes, les amateurs ont fourni aux professionnels de quoi établir, enfin, une première estimation du taux de chute d’objets sur la géante gazeuse. Car avant cette vague de découvertes, seulement deux événements de ce type avaient été observés depuis l’invention de la lunette astronomique (en 1609) : la célèbre collision de la comète Schoemaker-Levy en 1994 et
Au cours des dix dernières années, huit collisions entre Jupiter et des astéroïdes ont été détectées. Et toutes, sans exception, sont le fruit d’observations menées par des astronomes amateurs ! La dernière remonte au 7 août 2019. Et une autre, encore en cours d’analyse, a peut-être été perçue le 30 août. En multipliant ainsi les données sur les impacts qui surviennent sur la plus massive des planètes, les amateurs ont fourni aux professionnels de quoi établir, enfin, une première estimation du taux de chute d’objets sur la géante gazeuse. Car avant cette vague de découvertes, seulement deux événements de ce type avaient été observés depuis l’invention de la lunette astronomique (en 1609) : la célèbre collision de la comète Schoemaker-Levy en 1994 et...
Pour lire l'article complet, choisissez notre offre web à seulement 2 €/mois
En comparant de la poussière martienne fabriquée en laboratoire avec les données des sondes spatiales, une équipe scientifique a identifié quel type de rouille donnait sa couleur rouge à Mars. Cet oxyde de fer pourrait résulter de la fonte de glaces survenue il y a plus de 3 milliards d’années.
L’astronomie gamma s’intéresse aux phénomènes les plus violents de l’Univers. Mathieu de Naurois nous détaille les découvertes réalisées dans ce domaine assez récent de l’astrophysique.
Le corps céleste 2017 OF201 découvert aux confins du Système solaire pourrait mesurer plus de 700 km de diamètre. Sa taille et son orbite atypique en font un candidat sérieux au statut de planète naine, et bousculent les théories sur la mystérieuse Planète 9.