Contrairement au consensus actuel, l’Univers pourrait être clos, alertent trois astrophysiciens qui s’appuient sur les récentes données du satellite Planck. La belle cohérence de notre modèle cosmologique n’est-elle qu’un mirage ?
« Il y a plus de 99 chances sur 100 pour que l’Univers soit clos. Ce n’est pas nous qui le disons, mais les données du satellite Planck ! » Alessandro Melchiorri semble presque s’excuser de cette énormité. Avec Eleonora Di Valentino et Joseph Silk, de l’université de Manchester et l’Institut d’astrophysique de Paris (IAP), le cosmologiste de l’université de Rome cosigne une étude qui pourrait remettre en cause toute notre vision de l’Univers. S’appuyant sur les toutes récentes données du satellite d’observation du fond diffus cosmologique — le rayonnement primordial de l’Univers, émis 380 000 ans après le big bang —, les trois chercheurs y affirment que la géométrie du cosmos n’est pas équivalente à celle d’un plan, mais d’une sphère. Et
« Il y a plus de 99 chances sur 100 pour que l’Univers soit clos. Ce n’est pas nous qui le disons, mais les données du satellite Planck ! » Alessandro Melchiorri semble presque s’excuser de cette énormité. Avec Eleonora Di Valentino et Joseph Silk, de l’université de Manchester et l’Institut d’astrophysique de Paris (IAP), le cosmologiste de l’université de Rome cosigne une étude qui pourrait remettre en cause toute notre vision de l’Univers. S’appuyant sur les toutes récentes données du satellite d’observation du fond diffus cosmologique — le rayonnement primordial de l’Univers, émis 380 000 ans après le big bang —, les trois chercheurs y affirment que la géométrie du cosmos n’est pas équivalente à celle d’un plan, mais d’une sphère. Et...
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Lancée en 1977, la sonde Voyager 1 donne des signes de faiblesse. Depuis fin 2023 les messages qu’elle envoie vers la Terre sont vides de sens. Si la Nasa a en partie réparé l’anomalie, elle bataille pour maintenir le vaisseau en vie. Il faut pour cela se replonger dans les langages informatiques de l’époque…
La première année d’observation du relevé céleste Desi suggère que l’énergie noire, qui accélère l’expansion de l’univers, pourrait avoir varié dans le temps. Un résultat qui défie notre compréhension de l’évolution cosmique et qui suscite tour à tour prudence, enthousiasme et curiosité chez les spécialistes.
Le petit corps céleste qui gravite sur une orbite très voisine de celle de la Terre semble avoir la Lune pour origine. Outre sa composition, des simulations de trajectoire militent en ce sens. Un cratère est même suspecté : Giordano Bruno.