Forme de l’Univers : trois chercheurs relancent le débat

Amas de galaxies. © Nasa/ESA
Contrairement au consensus actuel, l’Univers pourrait être clos, alertent trois astrophysiciens qui s’appuient sur les récentes données du satellite Planck. La belle cohérence de notre modèle cosmologique n’est-elle qu’un mirage ?
« Il y a plus de 99 chances sur 100 pour que l’Univers soit clos. Ce n’est pas nous qui le disons, mais les données du satellite Planck ! » Alessandro Melchiorri semble presque s’excuser de cette énormité. Avec Eleonora Di Valentino et Joseph Silk, de l’université de Manchester et l’Institut d’astrophysique de Paris (IAP), le cosmologiste de l’université de Rome cosigne une étude qui pourrait remettre en cause toute notre vision de l’Univers. S’appuyant sur les toutes récentes données du satellite d’observation du fond diffus cosmologique — le rayonnement primordial de l’Univers, émis 380 000 ans après le big bang —, les trois chercheurs y affirment que la géométrie du cosmos n’est pas équivalente à celle d’un plan, mais d’une sphère. Et
« Il y a plus de 99 chances sur 100 pour que l’Univers soit clos. Ce n’est pas nous qui le disons, mais les données du satellite Planck ! » Alessandro Melchiorri semble presque s’excuser de cette énormité. Avec Eleonora Di Valentino et Joseph Silk, de l’université de Manchester et l’Institut d’astrophysique de Paris (IAP), le cosmologiste de l’université de Rome cosigne une étude qui pourrait remettre en cause toute notre vision de l’Univers. S’appuyant sur les toutes récentes données du satellite d’observation du fond diffus cosmologique — le rayonnement primordial de l’Univers, émis 380 000 ans après le big bang —, les trois chercheurs y affirment que la géométrie du cosmos n’est pas équivalente à celle d’un plan, mais d’une sphère. Et...
Recevez Ciel & Espace pour moins de 6€/mois

Et beaucoup d'autres avantages avec l'offre numérique.

Voir les offres

Nous avons sélectionné pour vous