C’est la grande ambiguïté de l’exploration spatiale : comment chercher la vie ailleurs tout en s’interdisant de poser nos sondes sur les zones les plus prometteuses en matière d’exobiologie ? À mesure que l’objectif d’un débarquement humain sur Mars se précise, la réglementation s’assouplit.
La situation était devenue ubuesque. D’un côté, la Nasa multiplie les projets estampillés « recherche de vie » : elle lance cet été vers Mars le robot Perseverance censé y traquer « des signes de vie microbienne passée », prévoit de rapporter sur Terre vers 2030 les échantillons que le rover aura collectés, et envisage pour la même échéance la première mission habitée vers la planète rouge. De l’autre, le Bureau de la protection planétaire (Office of planetary protection, ou OPP) de l’agence spatiale américaine interdit l’accès à toutes les régions martiennes intéressantes du point de vue de l’exobiologie. À moins de faire subir aux sondes une stérilisation extrême, tellement coûteuse qu’elle n’a jamais été effectuée depuis les missions Viking
La situation était devenue ubuesque. D’un côté, la Nasa multiplie les projets estampillés « recherche de vie » : elle lance cet été vers Mars le robot Perseverance censé y traquer « des signes de vie microbienne passée », prévoit de rapporter sur Terre vers 2030 les échantillons que le rover aura collectés, et envisage pour la même échéance la première mission habitée vers la planète rouge. De l’autre, le Bureau de la protection planétaire (Office of planetary protection, ou OPP) de l’agence spatiale américaine interdit l’accès à toutes les régions martiennes intéressantes du point de vue de l’exobiologie. À moins de faire subir aux sondes une stérilisation extrême, tellement coûteuse qu’elle n’a jamais été effectuée depuis les missions Viking...
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