En France, les femmes astronomes sont victimes d’inégalités pour l’accès à des postes permanents, montre une enquête publiée au printemps. « Quand on est une femme issue d’une formation universitaire, on a 4 à 5 fois moins de chance d’être reçue à l’ensemble des concours pour devenir astronome que si l’on est un homme diplômé d’une grande école », résume Olivier Berné, auteur de l’étude.
Olivier Berné. DR « C’est amusant de constater que, quand on présente un travail en astrophysique dans une conférence, certains collègues sont très tatillons sur les faits démontrés (résultats, barres d’erreur…), alors que, lorsqu’on met en lumière des problèmes de société avec la même méthode scientifique, l’opinion est reine pour ces mêmes personnes, et les faits n’ont plus droit de cité. » Olivier Berné, de l’Institut de recherche en astrophysique et planétologie (IRAP) ne fait que relater son expérience. Celle qu’il a vécue quand il a présenté dans un congrès le résultat quelque peu embarrassant de son enquête, publiée le 7 avril 2020 dans la revue Nature Astronomy : en France, les femmes astronomes sont victimes d’inégalités pour l’accès
Olivier Berné. DR « C’est amusant de constater que, quand on présente un travail en astrophysique dans une conférence, certains collègues sont très tatillons sur les faits démontrés (résultats, barres d’erreur…), alors que, lorsqu’on met en lumière des problèmes de société avec la même méthode scientifique, l’opinion est reine pour ces mêmes personnes, et les faits n’ont plus droit de cité. » Olivier Berné, de l’Institut de recherche en astrophysique et planétologie (IRAP) ne fait que relater son expérience. Celle qu’il a vécue quand il a présenté dans un congrès le résultat quelque peu embarrassant de son enquête, publiée le 7 avril 2020 dans la revue Nature Astronomy : en France, les femmes astronomes sont victimes d’inégalités pour l’accès...
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