Vue d'artiste du disque déformé de GW Orionis. Crédit : ESO/L. Calçada
Le disque de matière découvert en septembre 2020 autour du système stellaire triple GW Orionis, dans la constellation d’Orion, intrigue les astronomes. Déformé en trois anneaux d’inclinaisons variées — du jamais vu —, il pourrait expliquer l’origine des étranges exoplanètes « non alignées » aux orbites très penchées.
Il faut une vue d’artiste pour en saisir toute la majesté. Mais lorsque Stefan Kraus et ses collègues ont pris connaissance du résultat de leurs observations, réalisées avec Alma et le VLT, ils ont très vite compris qu’ils tenaient un objet fascinant. Autour du trio d’étoiles baptisé GW Orionis, situé à 1300 années-lumière dans la constellation d’Orion, l’équipe a mis au jour un disque de matière tel qu’on n’en avait jamais vu. Déchiré en trois anneaux inclinés de 155°, 143° et 142° à respectivement 47, 182 et 242 unités astronomiques du triplet stellaire, il pourrait montrer en direct la formation d’un système planétaire absolument exotique : plusieurs exoplanètes tournant sur des orbites diversement inclinées autour de trois étoiles liées par la
Il faut une vue d’artiste pour en saisir toute la majesté. Mais lorsque Stefan Kraus et ses collègues ont pris connaissance du résultat de leurs observations, réalisées avec Alma et le VLT, ils ont très vite compris qu’ils tenaient un objet fascinant. Autour du trio d’étoiles baptisé GW Orionis, situé à 1300 années-lumière dans la constellation d’Orion, l’équipe a mis au jour un disque de matière tel qu’on n’en avait jamais vu. Déchiré en trois anneaux inclinés de 155°, 143° et 142° à respectivement 47, 182 et 242 unités astronomiques du triplet stellaire, il pourrait montrer en direct la formation d’un système planétaire absolument exotique : plusieurs exoplanètes tournant sur des orbites diversement inclinées autour de trois étoiles liées par la...
Pour lire l'article complet, choisissez notre offre web à seulement 2 €/mois
Des astronomes américains pensent avoir détecté une petite étoile autour de la supergéante rouge Bételgeuse. Une annonce jugée précipitée par certains. Mais ses découvreurs ont de bonnes raisons d’y croire…
Existence de planètes habitables, probabilité qu’une vie puisse s’y développer au point de produire une civilisation capable de communiquer par-delà les étoiles… Autant de conditions que les scientifiques de l’Institut Seti tentent de préciser pour calculer nos chances, un jour peut-être, de capter un message extraterrestre. Reportage.
Les deux planètes les plus brillantes à l’œil nu se croisent dans le ciel du matin. Un moment étonnant à observer avant le lever du Soleil, le 12 août 2025, que ce soit à l’œil nu, aux jumelles ou au télescope.