En observant la face visible de la Lune, des géologues ont trouvé les indices d’une activité tectonique qui serait toujours en cours. Depuis les missions Apollo, cette activité fait débat. Notre satellite serait donc loin d’être mort ?
Contrairement à la Terre, la Lune n’a pas de plaques continentales. Pourtant, des traces d’activité tectonique sur sa face visible viennent d’être identifiées par deux chercheurs, qui publient leur étude dans la revue Geology. Adomas Valantinas (université de Berne) et son collègue Peter Schultz ont étudié les données de température de la surface de notre satellite acquises par la sonde Lunar Reconnaissance Orbiter (LRO) pendant la nuit lunaire. Grâce à elles, ils ont montré que sur de nombreuses crêtes rocheuses, le régolithe lunaire était absent, laissant la roche nue exposée. « C’est comme si vous alliez dans le désert la nuit et que vous touchiez un rocher. Il sera plus chaud que le sable, car il a plus d’inertie thermique, et rend la chaleur accumulée dans
Contrairement à la Terre, la Lune n’a pas de plaques continentales. Pourtant, des traces d’activité tectonique sur sa face visible viennent d’être identifiées par deux chercheurs, qui publient leur étude dans la revue Geology. Adomas Valantinas (université de Berne) et son collègue Peter Schultz ont étudié les données de température de la surface de notre satellite acquises par la sonde Lunar Reconnaissance Orbiter (LRO) pendant la nuit lunaire. Grâce à elles, ils ont montré que sur de nombreuses crêtes rocheuses, le régolithe lunaire était absent, laissant la roche nue exposée. « C’est comme si vous alliez dans le désert la nuit et que vous touchiez un rocher. Il sera plus chaud que le sable, car il a plus d’inertie thermique, et rend la chaleur accumulée dans...
Pour lire l'article complet, choisissez notre offre web à seulement 2 €/mois
En comparant de la poussière martienne fabriquée en laboratoire avec les données des sondes spatiales, une équipe scientifique a identifié quel type de rouille donnait sa couleur rouge à Mars. Cet oxyde de fer pourrait résulter de la fonte de glaces survenue il y a plus de 3 milliards d’années.
L’astronomie gamma s’intéresse aux phénomènes les plus violents de l’Univers. Mathieu de Naurois nous détaille les découvertes réalisées dans ce domaine assez récent de l’astrophysique.
Le corps céleste 2017 OF201 découvert aux confins du Système solaire pourrait mesurer plus de 700 km de diamètre. Sa taille et son orbite atypique en font un candidat sérieux au statut de planète naine, et bousculent les théories sur la mystérieuse Planète 9.