Pour prévoir les tempêtes solaires, les chercheurs du National Solar Observatory ont développé une technique originale : ils suivent la propagation des ondes acoustiques à la surface de notre étoile. Cette héliosimologie permet d’anticiper les orages magnétiques qui peuvent endommager nos réseaux de communication.
Le 23 novembre 2020, une grosse tache sombre apparaissait sur le bord du Soleil. Les équipes du National Solar Observatory (NSO) l’attendaient. Une semaine auparavant, ils avaient prévu son existence avec une grande précision, alors qu’elle se trouvait encore sur la face cachée de notre étoile. Située dans la « région active 12786 », cette tache de près de 50 000 km de large, soit quatre fois le diamètre de la Terre, a donc été décelée avant que la rotation du Soleil ne nous la rende visible. Trente ans de travaux menés par le NSO ont permis de perfectionner cette science de l’anticipation des taches solaires.
Des astronomes américains pensent avoir détecté une petite étoile autour de la supergéante rouge Bételgeuse. Une annonce jugée précipitée par certains. Mais ses découvreurs ont de bonnes raisons d’y croire…
Existence de planètes habitables, probabilité qu’une vie puisse s’y développer au point de produire une civilisation capable de communiquer par-delà les étoiles… Autant de conditions que les scientifiques de l’Institut Seti tentent de préciser pour calculer nos chances, un jour peut-être, de capter un message extraterrestre. Reportage.
Les deux planètes les plus brillantes à l’œil nu se croisent dans le ciel du matin. Un moment étonnant à observer avant le lever du Soleil, le 12 août 2025, que ce soit à l’œil nu, aux jumelles ou au télescope.