Alors que l’épidémie de coronavirus s’étend à travers la planète, la base de Baïkonour se prépare au lancement de la prochaine rotation d’équipage (Expédition 63) de la station spatiale internationale. Un tir planifié le 9 avril 2020.
Avec la pandémie de Covid-19, les mesures de quarantaine ont été relevées par l’agence spatiale russe Roscomos en vue du lancement du Soyouz MS-16, depuis la base de Baïkonour (Kazakhstan) le 9 avril 2020. À bord du vaisseau qui doit rejoindre la Station spatiale internationale (ISS), prendront place trois astronautes : les Russes Anatoli Ivanichine et Ivan Vagner, et l’Américain Chris Cassidy (Expedition 63). Habituellement, un équipage connaît une période d'isolement avant son envol afin d'éviter les risques liés à des maladies, virus ou bactéries. Selon Frank De Winne, directeur des astronautes de l'ESA, pour les trois astronautes du Soyouz MS-16, "la quarantaine est plus stricte et est maintenant d'un mois au lieu de deux semaines". De même le nombre
Avec la pandémie de Covid-19, les mesures de quarantaine ont été relevées par l’agence spatiale russe Roscomos en vue du lancement du Soyouz MS-16, depuis la base de Baïkonour (Kazakhstan) le 9 avril 2020. À bord du vaisseau qui doit rejoindre la Station spatiale internationale (ISS), prendront place trois astronautes : les Russes Anatoli Ivanichine et Ivan Vagner, et l’Américain Chris Cassidy (Expedition 63). Habituellement, un équipage connaît une période d'isolement avant son envol afin d'éviter les risques liés à des maladies, virus ou bactéries. Selon Frank De Winne, directeur des astronautes de l'ESA, pour les trois astronautes du Soyouz MS-16, "la quarantaine est plus stricte et est maintenant d'un mois au lieu de deux semaines". De même le nombre...
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Philippe Baptiste discute dans ce grand entretien de « Ciel & espace » des prochains enjeux pour l’espace français et européen. Mais aussi de sa vision d’une recherche libre et performante.
Lancé par SpaceX depuis la base californienne de Vandenberg le 23 juin 2025, le second démonstrateur de la société franco-allemande TEC a été placé avec succès sur orbite avant de revenir sur Terre. Il a cependant disparu des écrans radars quelques minutes avant son amerrissage dans l’océan Pacifique.
En quelques nuits d’observation d’un même champ céleste, le nouveau télescope de 8,4 m de diamètre qui vient d’entrer en service dans les Andes chiliennes a photographié plus de 4000 astéroïdes. Dont plus de la moitié seraient nouveaux. Une moisson qui laisse entrevoir les capacités de cet instrument capable de scanner l’ensemble du ciel au-dessus de lui tous les trois à quatre jours.