Toulouse accueillait les 15 et 16 février le Sommet européen sur l’espace, organisé par l’agence spatiale européenne (ESA) et la présidence française de l’Union européenne (UE). Ce rendez-vous était destiné à fixer les grands choix stratégiques. Si certains points comme les lanceurs sont actés, la question de l’exploration humaine parait encore floue.
À la tête de la présidence tournante de l’Union européenne depuis le 1er janvier 2022, la France fixe une feuille de route de l’espace pour le vieux continent. « L’enjeu est clair, il s’agit de bâtir la souveraineté spatiale de l’Europe », a rappelé Bruno Le Maire, le ministre français de l’Économie. « Nous ne voulons pas dépendre des autres pour la maîtrise et l’utilisation de l’espace », précisait le commissaire européen Thierry Breton. C’est ce que le président français a indiqué ensuite dans un discours axé sur quatre grands thèmes.
Emmanuel Macron n’a cependant fait aucune annonce fracassante. Il souligne qu’il faut agir « en urgence ». C’est sans surprise qu’il déclare que l’Europe « doit prendre le virage des mini- et microlanceurs réutilisables
À la tête de la présidence tournante de l’Union européenne depuis le 1er janvier 2022, la France fixe une feuille de route de l’espace pour le vieux continent. « L’enjeu est clair, il s’agit de bâtir la souveraineté spatiale de l’Europe », a rappelé Bruno Le Maire, le ministre français de l’Économie. « Nous ne voulons pas dépendre des autres pour la maîtrise et l’utilisation de l’espace », précisait le commissaire européen Thierry Breton. C’est ce que le président français a indiqué ensuite dans un discours axé sur quatre grands thèmes.
Emmanuel Macron n’a cependant fait aucune annonce fracassante.
Il souligne qu’il faut agir « en urgence ». C’est sans surprise qu’il déclare que l’Europe « doit prendre le virage des mini- et microlanceurs réutilisables...
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