Sans les 320 masses terrestres de Jupiter, le Système solaire n'aurait pas le même visage. Et pourtant, les astrophysiciens ne comprennent pas vraiment comment la planète géante s'est formée. Un nouveau scénario entend lever le mystère.
Elle pèse presque trois fois plus à elle seule que l'ensemble des autres planètes du Système solaire. Certains pensent que nous lui devons nos océans, ou qu’elle nous protège des comètes lointaines. Et elle semble responsable de la petite taille de Mars. Si Jupiter n’avait pas existé, c’est sûr, notre destin n’aurait pas été le même ! Depuis des années pourtant, les théoriciens bataillent pour reproduire la formation de la planète géante dans leurs simulations numériques. Trop lente, la croissance de leurs Jupiter de synthèse a pendant longtemps donné naissance à des planètes malingres. Trop rapide au contraire, elle peut engendrer désormais des monstres surdimensionnés. À la tête d'une équipe issue des universités de Berne et de Zurich, Yann Alibert
Elle pèse presque trois fois plus à elle seule que l'ensemble des autres planètes du Système solaire. Certains pensent que nous lui devons nos océans, ou qu’elle nous protège des comètes lointaines. Et elle semble responsable de la petite taille de Mars. Si Jupiter n’avait pas existé, c’est sûr, notre destin n’aurait pas été le même ! Depuis des années pourtant, les théoriciens bataillent pour reproduire la formation de la planète géante dans leurs simulations numériques. Trop lente, la croissance de leurs Jupiter de synthèse a pendant longtemps donné naissance à des planètes malingres. Trop rapide au contraire, elle peut engendrer désormais des monstres surdimensionnés. À la tête d'une équipe issue des universités de Berne et de Zurich, Yann Alibert...
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En comparant de la poussière martienne fabriquée en laboratoire avec les données des sondes spatiales, une équipe scientifique a identifié quel type de rouille donnait sa couleur rouge à Mars. Cet oxyde de fer pourrait résulter de la fonte de glaces survenue il y a plus de 3 milliards d’années.
L’astronomie gamma s’intéresse aux phénomènes les plus violents de l’Univers. Mathieu de Naurois nous détaille les découvertes réalisées dans ce domaine assez récent de l’astrophysique.
Le corps céleste 2017 OF201 découvert aux confins du Système solaire pourrait mesurer plus de 700 km de diamètre. Sa taille et son orbite atypique en font un candidat sérieux au statut de planète naine, et bousculent les théories sur la mystérieuse Planète 9.