Sur ce petit télescope de 60 mm, le plastique domine. Sous ses airs de jouet, il cache de réelles qualités pour débuter dans un budget très serré. Il conviendra aux enfants désireux d’explorer la Lune et les planètes.
Première approche : un grand frère plus abouti Une fois n’est pas coutume, nous revenons sur une même gamme d’instruments à peu de temps d’intervalle avec l’Acuter Maksy 60. Nous avons récemment testé son intrigant petit frère, un télescope en plastique vert pétant vendu à 40 € : l’Acuter Newtony 50, un Newton de 50 mm fabriqué par Sky-Watcher (Acuter est une sous-marque). Un objet intéressant, surtout au regard de son prix et de son atout pédagogique, mais un peu décevant optiquement, car le miroir principal a une forme sphérique et non parabolique. Sa qualité d’image était donc limitée. Reprenant le même concept, le Maksy 60 offre une ouverture un peu plus grande de 60 mm, mais avec une formule optique Maksutov. Or, par définition, cette combinaison
Première approche : un grand frère plus abouti Une fois n’est pas coutume, nous revenons sur une même gamme d’instruments à peu de temps d’intervalle avec l’Acuter Maksy 60. Nous avons récemment testé son intrigant petit frère, un télescope en plastique vert pétant vendu à 40 € : l’Acuter Newtony 50, un Newton de 50 mm fabriqué par Sky-Watcher (Acuter est une sous-marque). Un objet intéressant, surtout au regard de son prix et de son atout pédagogique, mais un peu décevant optiquement, car le miroir principal a une forme sphérique et non parabolique. Sa qualité d’image était donc limitée. Reprenant le même concept, le Maksy 60 offre une ouverture un peu plus grande de 60 mm, mais avec une formule optique Maksutov. Or, par définition, cette combinaison...
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C’est parti pour les 14e Rencontres du ciel et de l’espace (RCE) ! Les 9, 10 et 11 novembre 2024, venez nombreux à la Cité des Sciences, à Paris, pour cet événement organisé par l’Association française d’astronomie ! Au menu : des conférences, des stands de matériel astronomique et surtout… des rencontres !
Après un premier retour réussi dans les bras de sa tour de lancement, le colossal booster du Starship de SpaceX doit repartir vers l’espace le 18 novembre. Et en revenir. Mais comment fonctionne le pilote automatique de la fusée voulue par Elon Musk ?
Bonne nouvelle sur le front de la couche d’ozone : le trou de la haute atmosphère qui campe au-dessus de l’Antarctique est, en 2024, relativement petit, comparé aux années précédentes. Ce qui suggère qu’il est bel et bien en train de se reboucher.