Il y a 50 ans, le 14 avril 1970, une explosion endommage gravement le vaisseau d’Apollo 13 lancé vers la Lune avec trois astronautes à son bord. L’accident résulte d’une succession de faits en apparence anodins. Retour sur un enchaînement fatal débuté quatre ans plus tôt.
Apollo 13 est un film catastrophe dont on connaît le dénouement : le 17 avril 1970, les astronautes Jim Lovell, Fred Haise et Jack Swigert reviennent sains et saufs sur Terre à bord de la capsule Odyssey. Trois jours plus tôt, alors qu’ils ont quitté l’orbite terrestre et qu’ils approchent de la Lune, une explosion mystérieuse a détruit le moteur principal de leur vaisseau, éventré leurs réservoirs de carburant, mis hors service leurs générateurs d’électricité et vidé l’essentiel de leurs réserves d’oxygène. En ressentant la secousse, Jack Swigert a juste annoncé : « Houston, je crois que nous avons eu un problème. » Comme au centre spatial de Houston le capcom (l’astronaute chargé de communiquer avec l’équipage) Jack Lousma n’a pas compris, le
Apollo 13 est un film catastrophe dont on connaît le dénouement : le 17 avril 1970, les astronautes Jim Lovell, Fred Haise et Jack Swigert reviennent sains et saufs sur Terre à bord de la capsule Odyssey. Trois jours plus tôt, alors qu’ils ont quitté l’orbite terrestre et qu’ils approchent de la Lune, une explosion mystérieuse a détruit le moteur principal de leur vaisseau, éventré leurs réservoirs de carburant, mis hors service leurs générateurs d’électricité et vidé l’essentiel de leurs réserves d’oxygène. En ressentant la secousse, Jack Swigert a juste annoncé : « Houston, je crois que nous avons eu un problème. » Comme au centre spatial de Houston le capcom (l’astronaute chargé de communiquer avec l’équipage) Jack Lousma n’a pas compris, le...
Pour lire l'article complet, choisissez notre offre web à seulement 2 €/mois
Alors que l’engin était déjà assemblé, l’agence spatiale américaine a subitement mis un terme à son projet de rover VIPER à destination du pôle sud de la Lune. Une pétition est ouverte par les scientifiques pour sauver l’astromobile, tandis que la Nasa se dit ouverte à céder VIPER à qui voudrait lui offrir un nouveau destin.
Pilote sur la future mission Artemis 2, qui verra les humains retourner vers la Lune pour la première fois depuis 1972, Victor Glover nous a accordé une interview exclusive. Au Johnson Space Center (JSC), où il s'entraîne pour son vol historique prévu pour l’automne 2025, il se confie sur son rôle de nouveau pionnier, de symbole de diversité et sur sa gestion des risques inhérents à cette mission pas comme les autres.
Le 13 avril 2029, l’astéroïde géocroiseur de 375 m Apophis passera à seulement 32 000 km de notre planète. L’ESA vient d’annoncer qu’une sonde européenne, Ramses, sera lancée pour étudier le comportement du petit corps à cette occasion.