Un nouvel examen d’échantillons rapportés par la mission Apollo 14 en 1971 a permis de trouver ce qui pourrait bien être une météorite terrestre. Une première ! Vieille de plus de 4 milliards d’années, cette pierre serait alors l’une des plus anciennes roches terrestres connues, précieusement conservée par la Lune.
Le fragment est minuscule : 2 grammes. Mais son âge est immense : 4 milliards d’années, presque aussi vieux que la Terre ! Et son odyssée l’aurait amené sur la Lune avant de revenir sur son lieu d’origine, notre planète. Cette toute petite inclusion découverte dans une roche lunaire est précieuse. Même si son origine terrestre doit encore être confirmée, elle fait déjà rêver les géologues. La Lune pourrait ainsi nous aider à « imaginer l’enfance de la Terre », se réjouit Charles Frankel, de l’université de Stanford (Californie). Pour ce spécialiste de la géologie des planètes, l’histoire de ce qui semblerait être la toute première météorite terrestre « revenue dans sa mère patrie » est non seulement « mignonne », mais aussi riche d’enseignements.
Le fragment est minuscule : 2 grammes. Mais son âge est immense : 4 milliards d’années, presque aussi vieux que la Terre ! Et son odyssée l’aurait amené sur la Lune avant de revenir sur son lieu d’origine, notre planète. Cette toute petite inclusion découverte dans une roche lunaire est précieuse. Même si son origine terrestre doit encore être confirmée, elle fait déjà rêver les géologues. La Lune pourrait ainsi nous aider à « imaginer l’enfance de la Terre », se réjouit Charles Frankel, de l’université de Stanford (Californie). Pour ce spécialiste de la géologie des planètes, l’histoire de ce qui semblerait être la toute première météorite terrestre « revenue dans sa mère patrie » est non seulement « mignonne », mais aussi riche d’enseignements....
Pour lire l'article complet, choisissez notre offre web à seulement 2 €/mois
La vitesse d’expansion de l’Univers n’en finit pas d’alimenter les débats entre cosmologistes. La constante de Hubble, qui la mesure, vaut-elle 67 ou 75 km/s/Mpc ? Dernier rebondissement en date : la seconde valeur reçoit l’appui de l’amas de galaxies de Coma.
C’est une première mondiale. Dans les Alpes-Maritimes, astronomes et physiciens sont parvenus à fabriquer en grande quantité des particules, tel qu’elles sont produites dans l’enveloppe des étoiles en fin de vie.
La probabilité que l’astéroïde 2024 YR4 percute la Terre en 2032 vient de passer de 1,2 % à 2,3 %. Le petit astre est désormais considéré comme le plus dangereux du moment. Dans quelle mesure faut-il s’en inquiéter ? Réponse de l’astronome Benoit Carry.