La startup française Interstellar Lab vise l’habitat lunaire

Projet de base lunaire. © Interstellar Lab
Spécialisée dans la fabrication de dômes à environnement contrôlé, Interstellar Lab prévoit l’installation de modules sur Terre, puis sur la Lune dans le cadre du programme américain Artemis. La société annonce avoir levé 500000 $ auprès du fonds d’investissement FII, bouclant ainsi un premier tour de table de 3 millions d’euros.
Les modules qui constitueront la première infrastructure habitée sur la surface de la Lune seront peut-être un jour estampillés “made in France”. C’est le cap que s’est fixé Interstellar Lab, société créée en 2020 par Barbara Belvisi, basée à Ivry et qui est à l’origine de Biopod. Derrière ce nom se cache une structure de 11 m de long sur 6 m de large et 4,5 m de haut en forme de dôme. Théoriquement capable d’accueillir jusqu’à 10 personnes, il doit offrir une surface habitable de 55 m2 (module Stardust). Strutures gonflables La société annonce pouvoir fournir, dans un second temps, une version de 300 m2 (Super Nova). D’un cout unitaire de 200 000 $, le module se compose d’une coque et d’une structure gonflable, ce qui représente un avantage notamment
Les modules qui constitueront la première infrastructure habitée sur la surface de la Lune seront peut-être un jour estampillés “made in France”. C’est le cap que s’est fixé Interstellar Lab, société créée en 2020 par Barbara Belvisi, basée à Ivry et qui est à l’origine de Biopod. Derrière ce nom se cache une structure de 11 m de long sur 6 m de large et 4,5 m de haut en forme de dôme. Théoriquement capable d’accueillir jusqu’à 10 personnes, il doit offrir une surface habitable de 55 m2 (module Stardust).

Strutures gonflables La société annonce pouvoir fournir, dans un second temps, une version de 300 m2 (Super Nova). D’un cout unitaire de 200 000 $, le module se compose d’une coque et d’une structure gonflable, ce qui représente un avantage notamment...
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