Pour déceler une forme de vie ailleurs que sur Terre, tous les moyens sont bons. Des scientifiques ont ainsi entraîné un modèle d’intelligence artificielle à repérer les motifs moléculaires propres aux systèmes vivants. Une technique qui pourrait être intégrée à de futures missions spatiales.
Si une trace de vie quelconque se cache quelque part dans le Système solaire, comment la trouver ? Pour répondre à cette question, l’astrobiologiste Robert Hazen, de la Carnegie Institution de Washington, s’est entouré de nombreux collaborateurs, parmi lesquels une alliée à la puissance de calcul inégalée : une intelligence artificielle, ou IA. Et cette coopération semble porter ses fruits. Selon le chercheur américain, l’IA a décelé correctement dans 90 % des cas si les échantillons qui lui étaient présentés contenaient ou non des signes de vie. « Entre la publication de ces résultats fin septembre 2023 et aujourd’hui, ce chiffre est grimpé à 95 % », sourit Robert Hazen. Un tel outil pourrait se révéler précieux pour analyser des échantillons rapportés
Si une trace de vie quelconque se cache quelque part dans le Système solaire, comment la trouver ? Pour répondre à cette question, l’astrobiologiste Robert Hazen, de la Carnegie Institution de Washington, s’est entouré de nombreux collaborateurs, parmi lesquels une alliée à la puissance de calcul inégalée : une intelligence artificielle, ou IA. Et cette coopération semble porter ses fruits. Selon le chercheur américain, l’IA a décelé correctement dans 90 % des cas si les échantillons qui lui étaient présentés contenaient ou non des signes de vie. « Entre la publication de ces résultats fin septembre 2023 et aujourd’hui, ce chiffre est grimpé à 95 % », sourit Robert Hazen. Un tel outil pourrait se révéler précieux pour analyser des échantillons rapportés...
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C’est une première mondiale. Dans les Alpes-Maritimes, astronomes et physiciens sont parvenus à fabriquer en grande quantité des particules, tel qu’elles sont produites dans l’enveloppe des étoiles en fin de vie.
La probabilité que l’astéroïde 2024 YR4 percute la Terre en 2032 vient de passer de 1,2 % à 2,3 %. Le petit astre est désormais considéré comme le plus dangereux du moment. Dans quelle mesure faut-il s’en inquiéter ? Réponse de l’astronome Benoit Carry.
Une exoplanète vraisemblablement rocheuse gravite autour d’une étoile proche. Si elle possède une atmosphère, elle pourrait connaître des conditions favorables à la vie. Pour cette raison, les astronomes la considèrent comme très intéressante à étudier avec les télescopes de prochaine génération.