La planète géante qui gravite autour de l’étoile Bêta Pictoris vient d’être photographiée une nouvelle fois grâce au VLT. Une observation riche d’informations sur ce système planétaire voisin.
Depuis le 18 novembre 2016, plus personne n’avait revu la planète gazeuse qui tourne autour de l’étoile Bêta Pictoris, à 63 années-lumière du Système solaire. Ce mois-là, Anne-Marie Lagrange, du Laboratoire d’astrophysique de Grenoble et découvreuse de la planète en 2008, en avait pris la toute dernière photo avant qu’elle ne se noie dans la lumière de son étoile. En effet, Bêta Pictoris b (c’est son nom) suit une trajectoire dans un plan qui la conduit à passer quasiment devant son étoile. En novembre 2016, elle se rapprochait donc de plus en plus de cette conjonction attendue par les astronomes. Grâce à l’instrument SPHERE (une caméra dotée d’une puissante optique adaptative), installé sur l’un des télescopes de 8,2 m du VLT, au Chili, Anne-Marie Lagrange
Depuis le 18 novembre 2016, plus personne n’avait revu la planète gazeuse qui tourne autour de l’étoile Bêta Pictoris, à 63 années-lumière du Système solaire. Ce mois-là, Anne-Marie Lagrange, du Laboratoire d’astrophysique de Grenoble et découvreuse de la planète en 2008, en avait pris la toute dernière photo avant qu’elle ne se noie dans la lumière de son étoile. En effet, Bêta Pictoris b (c’est son nom) suit une trajectoire dans un plan qui la conduit à passer quasiment devant son étoile. En novembre 2016, elle se rapprochait donc de plus en plus de cette conjonction attendue par les astronomes. Grâce à l’instrument SPHERE (une caméra dotée d’une puissante optique adaptative), installé sur l’un des télescopes de 8,2 m du VLT, au Chili, Anne-Marie Lagrange...
Pour lire l'article complet, choisissez notre offre web à seulement 2 €/mois
Lancée en 1977, la sonde Voyager 1 donne des signes de faiblesse. Depuis fin 2023 les messages qu’elle envoie vers la Terre sont vides de sens. Si la Nasa a en partie réparé l’anomalie, elle bataille pour maintenir le vaisseau en vie. Il faut pour cela se replonger dans les langages informatiques de l’époque…
La première année d’observation du relevé céleste Desi suggère que l’énergie noire, qui accélère l’expansion de l’univers, pourrait avoir varié dans le temps. Un résultat qui défie notre compréhension de l’évolution cosmique et qui suscite tour à tour prudence, enthousiasme et curiosité chez les spécialistes.
Le petit corps céleste qui gravite sur une orbite très voisine de celle de la Terre semble avoir la Lune pour origine. Outre sa composition, des simulations de trajectoire militent en ce sens. Un cratère est même suspecté : Giordano Bruno.