Vue d'artiste d'une galaxie et de son halo. Crédit : DR
Pour expliquer la densité très diverse des halos galactiques, la matière noire pourrait avoir besoin d’interagir avec elle-même. Une hypothèse proposée par une équipe américaine menée par Hai-Bo Yu.
La matière noire compterait pour 85 % de la matière de l’Univers, mais sa nature et ses propriétés restent une énigme. Les cosmologistes vont donc au plus simple en postulant qu’elle n’interagit que gravitationnellement : c’est la matière noire froide. Mais depuis quelques années, cette simplicité est prise en défaut, car elle est incapable d’expliquer la diversité constatée sur les densités de halos de matière noire dans lesquels baignent les étoiles des galaxies. Aussi, une équipe menée par Hai-Bo Yu, de l’université de Californie à Riverside, propose que cette matière mystérieuse (écoutez notre podcast) puisse au moins interagir avec elle-même, produisant ainsi des halos plus variés. « Ce type de modèle peut expliquer toute une série d’observations,
La matière noire compterait pour 85 % de la matière de l’Univers, mais sa nature et ses propriétés restent une énigme. Les cosmologistes vont donc au plus simple en postulant qu’elle n’interagit que gravitationnellement : c’est la matière noire froide. Mais depuis quelques années, cette simplicité est prise en défaut, car elle est incapable d’expliquer la diversité constatée sur les densités de halos de matière noire dans lesquels baignent les étoiles des galaxies. Aussi, une équipe menée par Hai-Bo Yu, de l’université de Californie à Riverside, propose que cette matière mystérieuse (écoutez notre podcast) puisse au moins interagir avec elle-même, produisant ainsi des halos plus variés. « Ce type de modèle peut expliquer toute une série d’observations,...
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Alors que l’engin était déjà assemblé, l’agence spatiale américaine a subitement mis un terme à son projet de rover VIPER à destination du pôle sud de la Lune. Une pétition est ouverte par les scientifiques pour sauver l’astromobile, tandis que la Nasa se dit ouverte à céder VIPER à qui voudrait lui offrir un nouveau destin.
Pilote sur la future mission Artemis 2, qui verra les humains retourner vers la Lune pour la première fois depuis 1972, Victor Glover nous a accordé une interview exclusive. Au Johnson Space Center (JSC), où il s'entraîne pour son vol historique prévu pour l’automne 2025, il se confie sur son rôle de nouveau pionnier, de symbole de diversité et sur sa gestion des risques inhérents à cette mission pas comme les autres.
Le 13 avril 2029, l’astéroïde géocroiseur de 375 m Apophis passera à seulement 32 000 km de notre planète. L’ESA vient d’annoncer qu’une sonde européenne, Ramses, sera lancée pour étudier le comportement du petit corps à cette occasion.