À presque 50 ans d’écart, deux fusées ont été frappées par la foudre au décollage. Cette mésaventure, survenue le 27 mai 2019 à une Soyouz russe, s’est terminée sans conséquence. Tout comme Apollo 12, le 14 novembre 1969. Pourtant, cela n’est pas sans danger.
L’événement survenu le 27 mai 2019 sur le cosmodrome de Plessetsk, en Russie, n’est pas commun. À 8 h 23 (heure française), quelques secondes après qu’elle a pris un peu de hauteur dans un ciel nuageux et sous la pluie, la fusée Soyouz 2.1b emportant un satellite Glonass a été frappée par un éclair. La scène saisie en vidéo est impressionnante : on voit le lanceur traversé de haut en bas par un éclair blanc. Et on le voit aussi continuer son ascension, comme si de rien n’était. De fait, il mènera sa mission à bien en déposant son satellite sur l’orbite prévue.
Dès ce début octobre, la comète C/2025 A6 (Lemmon) semble tenir ses promesses et va, dans les prochaines semaines, devenir visible à l’œil nu. Elle est à chercher sous la constellation de la Grande Ourse.
Les observations cosmologiques ne semblent pas s’accorder avec les observations du Soleil pour déterminer la masse des neutrinos. Mais le problème pourrait être résolu si les trous noirs étaient pleins d’énergie sombre… Une idée que certains astrophysiciens tentent de vérifier, encouragés par l’un des plus récents relevés de galaxies lointaines.
Après avoir dévoilé en 2024 une première ébauche de son plan de déviation d’un corps céleste lors du forum international de Tiandu sur l’exploration lointaine, la Chine affine sa copie. Vraisemblablement d’ici 2027, elle compte ainsi lancer un duo de sondes pour expérimenter l’impact cinétique sur un astéroïde géocroiseur.