À presque 50 ans d’écart, deux fusées ont été frappées par la foudre au décollage. Cette mésaventure, survenue le 27 mai 2019 à une Soyouz russe, s’est terminée sans conséquence. Tout comme Apollo 12, le 14 novembre 1969. Pourtant, cela n’est pas sans danger.
L’événement survenu le 27 mai 2019 sur le cosmodrome de Plessetsk, en Russie, n’est pas commun. À 8 h 23 (heure française), quelques secondes après qu’elle a pris un peu de hauteur dans un ciel nuageux et sous la pluie, la fusée Soyouz 2.1b emportant un satellite Glonass a été frappée par un éclair. La scène saisie en vidéo est impressionnante : on voit le lanceur traversé de haut en bas par un éclair blanc. Et on le voit aussi continuer son ascension, comme si de rien n’était. De fait, il mènera sa mission à bien en déposant son satellite sur l’orbite prévue.
Seulement 48 h après l'investiture de Donald Trump, la Nasa a commencé à appliquer le décret du nouveau président des États-Unis, qui exige la suppression de tout programme ou service lié à la DEIA, c'est-à-dire à la diversité, l’équité, l’inclusion et l’accessibilité.
L’avant-dernière planète du Système solaire est aujourd’hui encore méconnue. Visitée une seule fois par Voyager 2, son étude depuis la Terre est compliquée par la distance lointaine. Pourtant, des planètes similaires pourraient représenter entre 30 % et 40 % des exoplanètes dans l’Univers. Pour enfin dévoiler ses secrets, la Nasa envisage d’y envoyer sa prochaine grande mission d’exploration.
Que faut-il penser des nouveaux domaines de l’économie spatiale ? Quels modèles économiques se cachent derrière les mégalanceurs, comme le Spaceship d’Elon Musk, pour qui et pour quoi faire ? Sont-ils réalistes ? Décryptage avec Pierre Lionnet, directeur de recherche à Eurospace.