La planète rouge est idéalement placée cet hiver. Son diamètre apparent demeure modeste, mais elle culmine haut dans le ciel, au-dessus des zones de turbulences. Voici neuf suggestions d’observation, aussi bien à l’œil nu que dans une petite lunette ou un gros télescope.
La planète rouge à l’œil nu Mars brille très haut dans le ciel de l’hiver, non loin du célèbre duo Castor et Pollux des Gémeaux. Sa couleur orangée contraste avec celle de ces deux étoiles quasiment blanches. La planète est l’un des astres les plus brillants du ciel. Sa magnitude s’élève à –0,9 mi-décembre et culminera à –1,5 mi-janvier 2025. Cette intensification d’éclat peut être suivie à l’œil nu, grâce notamment à Bételgeuse, dans Orion, qui possède une magnitude proche de 0 et une couleur comparable. Vous verrez ainsi l’éclat de Mars supplanter peu à peu celui de la supergéante rouge. Remarquez par ailleurs que Mars ne scintille pas, à la différence des étoiles, car son disque n’est pas affecté par les effets de la turbulence atmosphérique.
La planète rouge à l’œil nu Mars brille très haut dans le ciel de l’hiver, non loin du célèbre duo Castor et Pollux des Gémeaux. Sa couleur orangée contraste avec celle de ces deux étoiles quasiment blanches. La planète est l’un des astres les plus brillants du ciel. Sa magnitude s’élève à –0,9 mi-décembre et culminera à –1,5 mi-janvier 2025. Cette intensification d’éclat peut être suivie à l’œil nu, grâce notamment à Bételgeuse, dans Orion, qui possède une magnitude proche de 0 et une couleur comparable. Vous verrez ainsi l’éclat de Mars supplanter peu à peu celui de la supergéante rouge. Remarquez par ailleurs que Mars ne scintille pas, à la différence des étoiles, car son disque n’est pas affecté par les effets de la turbulence atmosphérique....
Pour lire l'article complet, choisissez notre offre web à seulement 2 €/mois
En comparant de la poussière martienne fabriquée en laboratoire avec les données des sondes spatiales, une équipe scientifique a identifié quel type de rouille donnait sa couleur rouge à Mars. Cet oxyde de fer pourrait résulter de la fonte de glaces survenue il y a plus de 3 milliards d’années.
L’astronomie gamma s’intéresse aux phénomènes les plus violents de l’Univers. Mathieu de Naurois nous détaille les découvertes réalisées dans ce domaine assez récent de l’astrophysique.
Le corps céleste 2017 OF201 découvert aux confins du Système solaire pourrait mesurer plus de 700 km de diamètre. Sa taille et son orbite atypique en font un candidat sérieux au statut de planète naine, et bousculent les théories sur la mystérieuse Planète 9.