En ce début d’été, l’Étoile du berger orne le ciel du soir. De la détection de son mouvement apparent à l’œil nu à celle de ses discrets nuages au télescope, en passant par son spectaculaire changement de phase et de diamètre apparent, la brillante planète offre de nombreuses possibilités d’observation.
Une seule planète est bien placée pour les amateurs en ce début d’été : Vénus. Celle que l’on surnomme l’Étoile du berger pourra malgré tout occuper grandement vos soirées. Elle est repérable à l’œil nu au-dessus de l’horizon nord-ouest dès le coucher du Soleil et devient éclatante à mesure que le crépuscule s’installe. Pour discerner son mouvement apparent, utilisez un bâtiment ou un arbre à l’horizon. Si Vénus était une étoile, elle passerait au niveau de ce repère fixe 4 minutes plus tôt chaque jour, du fait de la rotation de la Terre autour du Soleil. Or, durant la seconde quinzaine de mai, elle est revenue au contraire à la même position un peu plus tard de soir en soir. Vu depuis la Terre, son mouvement propre l’amène en effet alors à s’éloigner
Une seule planète est bien placée pour les amateurs en ce début d’été : Vénus. Celle que l’on surnomme l’Étoile du berger pourra malgré tout occuper grandement vos soirées. Elle est repérable à l’œil nu au-dessus de l’horizon nord-ouest dès le coucher du Soleil et devient éclatante à mesure que le crépuscule s’installe. Pour discerner son mouvement apparent, utilisez un bâtiment ou un arbre à l’horizon. Si Vénus était une étoile, elle passerait au niveau de ce repère fixe 4 minutes plus tôt chaque jour, du fait de la rotation de la Terre autour du Soleil. Or, durant la seconde quinzaine de mai, elle est revenue au contraire à la même position un peu plus tard de soir en soir. Vu depuis la Terre, son mouvement propre l’amène en effet alors à s’éloigner...
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La probabilité que l’astéroïde 2024 YR4 percute la Terre en 2032 vient de passer de 1,2 % à 2,3 %. Le petit astre est désormais considéré comme le plus dangereux du moment. Dans quelle mesure faut-il s’en inquiéter ? Réponse de l’astronome Benoit Carry.