LIGO attend de nouvelles ondes gravitationnelles

Crédit : Ligo/Caltech
Après une période d’arrêt, l’observatoire LIGO est à nouveau à l’affût d’ondes gravitationnelles provoquées par les collisions d’objets denses dans l’Univers.

La quête des ondes gravitationnelles a repris. Depuis le 30 novembre 2016, les détecteurs de l’observatoire LIGO, aux États-Unis, sont de nouveau passés en mode « observation » après une période de tests. LIGO avait permis de détecter pour la première fois, le 14 septembre 2015, des ondes gravitationnelles diffusées par la fusion de deux trous noirs.

Au cours de de la période d’arrêt qui a duré plusieurs mois, les astronomes ont amélioré de 25% sa sensibilité. L’observatoire guette donc à nouveau l’Univers avec l’espoir de déceler des événements impliquant des objets moins massifs ou des collisions de trous noirs plus lointaines.

L’observatoire européen Virgo, situé en Italie et qui doit fonctionner conjointement avec LIGO, devrait commencer ses observations au printemps 2017.

Recevez Ciel & Espace pour moins de 6€/mois

Et beaucoup d'autres avantages avec l'offre numérique.

Voir les offres

Commentaires

Nous avons sélectionné pour vous

  • Podcast : En août 2025, plongez dans la nébuleuse de l'Iris

    La nébuleuse de l'Iris est en majesté ce mois-ci. Nos chroniqueurs vous conseillent de l'observer, ainsi que les incontournables nébuleuses de la Lagune et Trifide. Pour découvrir l'intégralité de la programmation céleste de vos nuits d'août, écoutez le podcast !

  • Podcast : Le miracle grec et la révolution copernicienne

    Lauréat du prix Ciel & Espace 2025 du livre d'astronomie, « L'Atlas historique du ciel » de Pierre Léna et Christian Grataloup brosse le panorama de plus de 6000 ans d'exploration du ciel. Au micro de Ciel & Espace, Pierre Léna raconte deux moments clés : le miracle grec et la révolution copernicienne.

  • Podcast : Dans le ciel en juillet 2025

    Ce mois-ci, Saturne et Neptune s’approchent à 1° sous l’œil de la Lune dans la nuit du 15 au 16 juillet. Le ciel met aussi en scène Mercure, à son élongation maximale le 4 ; notre satellite qui passe près des Pléiades (le 20), puis de Vénus (22), et de Mars (28) ; et Pluton, qui passe à l’opposition le 24.