Les rayons X appuient la thèse du pulsar au cœur de la supernova de 1987

Les vestiges de SN1987A, dans le Grand Nuage de Magellan. © Nasa/ESA/P. Challis
L’enquête sur l’astre engendré par SN 1987A avance. L’explosion stellaire observée il y a 34 ans dans le Grand Nuage de Magellan aurait laissé un pulsar. Une équipe italienne l’affirme, grâce à des observations menées en rayons X.
Emanuele Greco L’étau se resserre autour de la supernova du Grand Nuage de Magellan. Dans cette galaxie satellite de notre Voie lactée, cela fait maintenant 34 ans que les astronomes sont en quête d’un vestige. Un corps ultradense, une étoile à neutrons laissée derrière elle par la supernova observée en 1987. Baptisée SN1987A, celle-ci est la plus récente explosion d’une étoile massive vue à l’œil nu, et la première à se produire à l’époque des télescopes modernes. Classée supernova de type II, SN1987A doit avoir formé un résidu compact dans les ultimes instants précédant la déflagration. Une étoile à neutrons ? Un trou noir ? Faute d’observation directe de l’astre situé à 168 000 années-lumière et dissimulé au cœur du gaz et des débris
Emanuele Greco L’étau se resserre autour de la supernova du Grand Nuage de Magellan. Dans cette galaxie satellite de notre Voie lactée, cela fait maintenant 34 ans que les astronomes sont en quête d’un vestige. Un corps ultradense, une étoile à neutrons laissée derrière elle par la supernova observée en 1987. Baptisée SN1987A, celle-ci est la plus récente explosion d’une étoile massive vue à l’œil nu, et la première à se produire à l’époque des télescopes modernes. Classée supernova de type II, SN1987A doit avoir formé un résidu compact dans les ultimes instants précédant la déflagration. Une étoile à neutrons ? Un trou noir ? Faute d’observation directe de l’astre situé à 168 000 années-lumière et dissimulé au cœur du gaz et des débris...
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