Deux chercheurs en écologie de l’université de Nantes, Adrien Guetté et Laurent Godet, ont produit une carte mondiale de la pollution lumineuse. Les données utilisées — des relevés satellites recueillis pendant vingt ans — leur ont permis d’obtenir une vision assez fine des régions où l’éclairage nocturne augmente, mais aussi de celles où il diminue.
Si vous vivez en ville et même dans sa proche périphérie, vous avez peut-être remarqué que le ciel nocturne n’est pas plein d’étoiles comme on le voit sur les photos des astronomes amateurs. Parfois seulement une petite poignée d’astres, les plus brillants, sont visibles. L’éclat de la majorité des étoiles est noyé dans les lumières urbaines. Souvent utilisées comme un indicateur de développement de l’activité humaine, les lumières nocturnes sont aussi un témoin de notre empiétement sur des espaces autrefois préservés. Car, en plus de dégrader la qualité du ciel, la prolifération des lumières a des effets néfastes sur la biodiversité et l’environnement. Adrien Guetté et Laurent Godet, de l’université de Nantes, ont produit une toute nouvelle carte mondiale
Si vous vivez en ville et même dans sa proche périphérie, vous avez peut-être remarqué que le ciel nocturne n’est pas plein d’étoiles comme on le voit sur les photos des astronomes amateurs. Parfois seulement une petite poignée d’astres, les plus brillants, sont visibles. L’éclat de la majorité des étoiles est noyé dans les lumières urbaines. Souvent utilisées comme un indicateur de développement de l’activité humaine, les lumières nocturnes sont aussi un témoin de notre empiétement sur des espaces autrefois préservés. Car, en plus de dégrader la qualité du ciel, la prolifération des lumières a des effets néfastes sur la biodiversité et l’environnement. Adrien Guetté et Laurent Godet, de l’université de Nantes, ont produit une toute nouvelle carte mondiale...
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