Depuis quelques mois, la Grande Tache rouge montre des signes d’instabilité spectaculaires. À plusieurs reprises, les astronomes amateurs ont détecté de grandes quantités de gaz arrachées à l’immense anticyclone de Jupiter. De quoi questionner l’avenir de ce tourbillon de gaz géant, connu depuis le XVIIe siècle.
« J’espère vraiment que nous ne sommes pas en train d’assister au début de la fin de la Grande Tache rouge », s’inquiète l’astronome amateur sud-africain Clyde Foster sur une liste de discussion consacrée à Jupiter. Avec l’Australien Anthony Wesley, il fait partie des vigies les plus assidues dans la surveillance de l’atmosphère de la planète géante. La source de son inquiétude est une activité très atypique de la Grande Tache rouge (GTR) avec l’apparition de spectaculaires excroissances tourmentées. Elles sont visibles quelques jours, et évoluent rapidement avant de se fondre dans les nuages alentour. « Depuis dix-sept ans que j’observe Jupiter régulièrement, je n’ai jamais vu ça », souligne Anthony Wesley.
Jupiter, le 19 mai 2019. Une “virgule”
« J’espère vraiment que nous ne sommes pas en train d’assister au début de la fin de la Grande Tache rouge », s’inquiète l’astronome amateur sud-africain Clyde Foster sur une liste de discussion consacrée à Jupiter. Avec l’Australien Anthony Wesley, il fait partie des vigies les plus assidues dans la surveillance de l’atmosphère de la planète géante. La source de son inquiétude est une activité très atypique de la Grande Tache rouge (GTR) avec l’apparition de spectaculaires excroissances tourmentées. Elles sont visibles quelques jours, et évoluent rapidement avant de se fondre dans les nuages alentour. « Depuis dix-sept ans que j’observe Jupiter régulièrement, je n’ai jamais vu ça », souligne Anthony Wesley.
Jupiter, le 19 mai 2019. Une “virgule”...
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