Tandis que la température du globe ne cesse de croître, de plus en plus de scientifiques cherchent à réduire leur empreinte carbone. Les astronomes ne font pas exception et s’interrogent : devant l’urgence climatique, peuvent-ils encore voyager si souvent en avion ou continuer à soutenir des projets énergivores ?
« Je ne veux plus contribuer au réchauffement climatique », « Prendre l’avion me mettait de plus en plus mal à l’aise », « Voler est un luxe dont je peux me passer », « J’ai décidé de refuser les invitations au bout du monde »… De plus en plus de scientifiques renâclent désormais à prendre l’avion comme ils l’ont longtemps fait : souvent, et pour des destinations lointaines, au gré des colloques et des déplacements de terrain. Maintenant que le constat est on en peut plus clair – l’augmentation de gaz carbonique (CO2) dans l’atmosphère a entraîné un réchauffement qui a fait des trois dernières décennies les plus chaudes depuis au moins 1850, et les quatre dernières années les plus chaudes jamais enregistrées – beaucoup de chercheurs vivent
« Je ne veux plus contribuer au réchauffement climatique », « Prendre l’avion me mettait de plus en plus mal à l’aise », « Voler est un luxe dont je peux me passer », « J’ai décidé de refuser les invitations au bout du monde »… De plus en plus de scientifiques renâclent désormais à prendre l’avion comme ils l’ont longtemps fait : souvent, et pour des destinations lointaines, au gré des colloques et des déplacements de terrain. Maintenant que le constat est on en peut plus clair – l’augmentation de gaz carbonique (CO2) dans l’atmosphère a entraîné un réchauffement qui a fait des trois dernières décennies les plus chaudes depuis au moins 1850, et les quatre dernières années les plus chaudes jamais enregistrées – beaucoup de chercheurs vivent...
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Journée unique à l'observatoire de Meudon, ce 29 novembre 2023 : les lentilles frontales de la grande lunette ont retrouvé leur place au bout du tube optique. Elles étaient démontées et stockées depuis près de 20 ans. Au terme d'une manipulation spectaculaire au moyen d'une grue, et d'infinies précautions, astronomes et ingénieurs de l'observatoire de Paris ont réussi à les remettre sur le vénérable instrument, qui demeure la troisième lunette au monde par son diamètre. Récit exclusif en images.
Le nouveau hors-série de « Ciel & espace » vient de paraître. Avec « Le ciel en 2024 », retrouvez conseils d’observation, cartes, ainsi que tous les lieux où découvrir l’astronomie.