Tandis que la température du globe ne cesse de croître, de plus en plus de scientifiques cherchent à réduire leur empreinte carbone. Les astronomes ne font pas exception et s’interrogent : devant l’urgence climatique, peuvent-ils encore voyager si souvent en avion ou continuer à soutenir des projets énergivores ?
« Je ne veux plus contribuer au réchauffement climatique », « Prendre l’avion me mettait de plus en plus mal à l’aise », « Voler est un luxe dont je peux me passer », « J’ai décidé de refuser les invitations au bout du monde »… De plus en plus de scientifiques renâclent désormais à prendre l’avion comme ils l’ont longtemps fait : souvent, et pour des destinations lointaines, au gré des colloques et des déplacements de terrain. Maintenant que le constat est on en peut plus clair – l’augmentation de gaz carbonique (CO2) dans l’atmosphère a entraîné un réchauffement qui a fait des trois dernières décennies les plus chaudes depuis au moins 1850, et les quatre dernières années les plus chaudes jamais enregistrées – beaucoup de chercheurs vivent
« Je ne veux plus contribuer au réchauffement climatique », « Prendre l’avion me mettait de plus en plus mal à l’aise », « Voler est un luxe dont je peux me passer », « J’ai décidé de refuser les invitations au bout du monde »… De plus en plus de scientifiques renâclent désormais à prendre l’avion comme ils l’ont longtemps fait : souvent, et pour des destinations lointaines, au gré des colloques et des déplacements de terrain. Maintenant que le constat est on en peut plus clair – l’augmentation de gaz carbonique (CO2) dans l’atmosphère a entraîné un réchauffement qui a fait des trois dernières décennies les plus chaudes depuis au moins 1850, et les quatre dernières années les plus chaudes jamais enregistrées – beaucoup de chercheurs vivent...
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