Quand la vie est apparue sur Terre, le Soleil brillait 30 % moins qu’aujourd’hui. Comment a-t-elle échappé à cette époque à une glaciation globale ? Peut-être grâce aux puissantes marées de la Lune, alors beaucoup plus proche, suggère une étude intrigante.
René Heller Imaginez un monde où une Lune 15 fois plus grosse qu’actuellement parcourrait le ciel en quelques heures, égrenant en accéléré ses croissants et ses quartiers. Un monde où le jour et la nuit ne dureraient que 70 min, où le sol se soulèverait et s’affaisserait de plusieurs centaines de mètres en une demi-heure. Et où, sur les côtes, l’océan s’élèverait au même rythme infernal à plus de 1 000 m d’altitude… Ce monde de cauchemar a peut-être été le nôtre. « Lorsque la Lune s’est formée, environ 70 millions d’années après les débuts du Système solaire, elle était bien plus proche qu’aujourd’hui et la Terre tournait beaucoup plus vite sur elle-même », explique René Heller, du Max Planck Institute for Solar System Research (Göttingen).
René Heller Imaginez un monde où une Lune 15 fois plus grosse qu’actuellement parcourrait le ciel en quelques heures, égrenant en accéléré ses croissants et ses quartiers. Un monde où le jour et la nuit ne dureraient que 70 min, où le sol se soulèverait et s’affaisserait de plusieurs centaines de mètres en une demi-heure. Et où, sur les côtes, l’océan s’élèverait au même rythme infernal à plus de 1 000 m d’altitude… Ce monde de cauchemar a peut-être été le nôtre. « Lorsque la Lune s’est formée, environ 70 millions d’années après les débuts du Système solaire, elle était bien plus proche qu’aujourd’hui et la Terre tournait beaucoup plus vite sur elle-même », explique René Heller, du Max Planck Institute for Solar System Research (Göttingen).
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La première année d’observation du relevé céleste Desi suggère que l’énergie noire, qui accélère l’expansion de l’univers, pourrait avoir varié dans le temps. Un résultat qui défie notre compréhension de l’évolution cosmique et qui suscite tour à tour prudence, enthousiasme et curiosité chez les spécialistes.
Le petit corps céleste qui gravite sur une orbite très voisine de celle de la Terre semble avoir la Lune pour origine. Outre sa composition, des simulations de trajectoire militent en ce sens. Un cratère est même suspecté : Giordano Bruno.
L’Univers est en expansion. Soit. Mais à quelle vitesse ? Selon la méthode utilisée, ce taux d’expansion, ou constante de Hubble, varie. Et les mesures les plus récentes viennent encore confirmer cette tension. Au point que des cosmologistes mettent en cause les modèles théoriques les mieux établis.