Au milieu des années 1970, Stephen Hawking découvre que les trous noirs brillent. La découverte est sensationnelle et offre une célébrité durable au jeune théoricien. Mais le prix à payer est lourd…
« Non seulement Dieu joue aux dés, mais il les envoie parfois là où personne ne peut les voir. » Lorsqu’il écrit ces lignes en conclusion de son premier grand article de vulgarisation, publié en janvier 1977 dans la revue Scientific American, sans doute Stephen Hawking ressent-il une légère ivresse. En une décennie, il est devenu l’un des héros de la physique théorique. Celui qui est parvenu à marier la mécanique quantique de Niels Bohr à la relativité générale d’Einstein, réputées inconciliables. Il est l’homme qui a fait briller les trous noirs. Certes, le mariage est arrangé et paraît un peu trop forcé pour pouvoir tenir bien longtemps. Mais enfin, qui d’autre que lui peut se permettre, à cinquante ans de distance, de donner la réplique à Einstein ?
« Non seulement Dieu joue aux dés, mais il les envoie parfois là où personne ne peut les voir. » Lorsqu’il écrit ces lignes en conclusion de son premier grand article de vulgarisation, publié en janvier 1977 dans la revue Scientific American, sans doute Stephen Hawking ressent-il une légère ivresse. En une décennie, il est devenu l’un des héros de la physique théorique. Celui qui est parvenu à marier la mécanique quantique de Niels Bohr à la relativité générale d’Einstein, réputées inconciliables. Il est l’homme qui a fait briller les trous noirs. Certes, le mariage est arrangé et paraît un peu trop forcé pour pouvoir tenir bien longtemps. Mais enfin, qui d’autre que lui peut se permettre, à cinquante ans de distance, de donner la réplique à Einstein ?...
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La vitesse d’expansion de l’Univers n’en finit pas d’alimenter les débats entre cosmologistes. La constante de Hubble, qui la mesure, vaut-elle 67 ou 75 km/s/Mpc ? Dernier rebondissement en date : la seconde valeur reçoit l’appui de l’amas de galaxies de Coma.
C’est une première mondiale. Dans les Alpes-Maritimes, astronomes et physiciens sont parvenus à fabriquer en grande quantité des particules, tel qu’elles sont produites dans l’enveloppe des étoiles en fin de vie.
La probabilité que l’astéroïde 2024 YR4 percute la Terre en 2032 vient de passer de 1,2 % à 2,3 %. Le petit astre est désormais considéré comme le plus dangereux du moment. Dans quelle mesure faut-il s’en inquiéter ? Réponse de l’astronome Benoit Carry.