Le grand télescope Mayall de l'observatoire de Kitt Peak (Arizona) réalise actuellement un grand relevé de galaxies, Desi. Crédit : Desi
La première année d’observation du relevé céleste Desi suggère que l’énergie noire, qui accélère l’expansion de l’univers, pourrait avoir varié dans le temps. Un résultat qui défie notre compréhension de l’évolution cosmique et qui suscite tour à tour prudence, enthousiasme et curiosité chez les spécialistes.
L’annonce restera-t-elle dans les mémoires comme le premier acte d’une révolution en cosmologie, ou bien sera-t-elle bientôt oubliée, corrigée à la faveur d’observations plus nombreuses ou plus précises ? Personne ne peut le dire encore, mais il est certain que la publication au début du mois d’avril 2024 des premiers résultats du relevé céleste Desi (Dark Energy Spectroscopic Instrument) n’a pas laissé les spécialistes indifférents. Et pour cause : après avoir analysé une année d’observations portant sur six millions de galaxies vues jusqu’à 11 milliards d’années dans le passé, ses chercheurs ont mis en évidence une possible déviation du comportement de l’univers par rapport au modèle standard de la cosmologie, la version moderne de la théorie du
L’annonce restera-t-elle dans les mémoires comme le premier acte d’une révolution en cosmologie, ou bien sera-t-elle bientôt oubliée, corrigée à la faveur d’observations plus nombreuses ou plus précises ? Personne ne peut le dire encore, mais il est certain que la publication au début du mois d’avril 2024 des premiers résultats du relevé céleste Desi (Dark Energy Spectroscopic Instrument) n’a pas laissé les spécialistes indifférents. Et pour cause : après avoir analysé une année d’observations portant sur six millions de galaxies vues jusqu’à 11 milliards d’années dans le passé, ses chercheurs ont mis en évidence une possible déviation du comportement de l’univers par rapport au modèle standard de la cosmologie, la version moderne de la théorie du...
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En comparant de la poussière martienne fabriquée en laboratoire avec les données des sondes spatiales, une équipe scientifique a identifié quel type de rouille donnait sa couleur rouge à Mars. Cet oxyde de fer pourrait résulter de la fonte de glaces survenue il y a plus de 3 milliards d’années.
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