La deuxième planète de l’étoile Bêta Pictoris, photographiée par le VLT, pose des questions théoriques aux astronomes. Son étude, ainsi que celle de tout le système, promet des avancées dans la manière dont les planètes géantes ont pu se former.
Parmi les étoiles à exoplanètes, Bêta Pictoris occupe une place à part. Cette place n’est pas due à la photographie, publiée en octobre 2020, de la deuxième planète géante en orbite autour d’elle, découverte l’an dernier. Elle remonte à l’époque où les astronomes ne connaissaient encore aucune planète extrasolaire, dans les années 1980, quand les Américains Bradford Smith et Richard Terrile, en masquant artificiellement l’éclat de l’étoile, ont photographié un épais disque de poussière l’encerclant à la manière d’un anneau de Saturne. Depuis 1984, cette étoile proche (63 années-lumière) 1,75 fois plus massive que le Soleil, n’a jamais cessé d’être un formidable terrain d’exploration des exoplanètes et de leur processus de formation. Peut-être
Parmi les étoiles à exoplanètes, Bêta Pictoris occupe une place à part. Cette place n’est pas due à la photographie, publiée en octobre 2020, de la deuxième planète géante en orbite autour d’elle, découverte l’an dernier. Elle remonte à l’époque où les astronomes ne connaissaient encore aucune planète extrasolaire, dans les années 1980, quand les Américains Bradford Smith et Richard Terrile, en masquant artificiellement l’éclat de l’étoile, ont photographié un épais disque de poussière l’encerclant à la manière d’un anneau de Saturne. Depuis 1984, cette étoile proche (63 années-lumière) 1,75 fois plus massive que le Soleil, n’a jamais cessé d’être un formidable terrain d’exploration des exoplanètes et de leur processus de formation. Peut-être...
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